herveus a écrit : il m'est avis que les DDPP ont certainement "d'autres chats à fouetter" et que les contrôles sur les poissons ne sont pas forcément la priorité du moment
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Ils ont en effet fort à faire de tous cotés. Toutefois il leurs arrive de contrôler certains magasins qui revendent des poissons vivants. Une enseigne située près de chez moi, dans l'Oise, a été contrôlée il y a quelques années. Elle s'est vue, à cette occasion, infliger une amende de plusieurs milliers d'euro. Ceci dit cela ne semble pas leurs avoir servi de leçon car c'est un de ces magasins dont parlait Coucou chez qui ont voit chaque année de nombreux Koï avec des ulcères, des bacs de Tosaï qui sont en traitement durant des mois...
La surveillance de ces établissements n'est pas uniquement importante pour la défense des consommateurs car il y a déjà eu, par exemple; en Allemagne, en Israël et ailleurs, des cas d'importations de poissons porteurs du KHV (pour simplifier, c'est comme le Sida). Ceci a généré quelques hécatombes. Imaginons ce qui pourrait se passer si quelques uns de ces poissons, porteurs sains, avaient été relâchés dans la nature.
Pour en revenir à la proposition de Coucou, il me semble intéressant d'obtenir des pouvoirs publics la définition officielle de ce que doit être une quarantaine pour des Koï importés du Japon ou d'ailleurs. Ceci nous permettrait, à notre niveau, de faire quelques déductions, voir d'effectuer une surveillance sur certains établissements.
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