Couleurs de Niigata, En direct du japon 2013
- Couleurs de Niigata
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Couleurs de Niigata, En direct du japon 2013
Couleurs de Niigata - En direct du japon - Automne2013
Jour 1, mardi 22 octobre.
Bonsoir a tous,
Je suis heureux de vous retrouver pour ce "direct du Japon", une nouvelle fois, et je vous remercie de votre fidélité.
Il était 7 heures, hier matin quand j'ai quitté la maison, et nous sommes arrivés ce soir à Ojiya à 21 heures ( soit 14 heures, heures française )... ce sont 31 heures de trajet que nous achevons donc.
Et après un rapide dîner, nous constatons que les connections internet de nos chambres d'hôtel ne fonctionnent pas :-(
Après 1 bonne heure de jardinage informatique nous abdiquons.
La journée aurait pu être meilleure en somme.
En guise d'excuses, je vous écris ces quelques lignes depuis le poste fixe de l'hôtel, qui me gratifie au passage de son clavier à la "Champollion", et je vous donne RDV demain, à la même heure, pour un compte rendu de la première -vraie- journée, qui sera je pense,,, j'espère,,, j'en suis sûr,,, plus consistant.
A demain... en haut débit ^_^
Jour 1, mardi 22 octobre.
Bonsoir a tous,
Je suis heureux de vous retrouver pour ce "direct du Japon", une nouvelle fois, et je vous remercie de votre fidélité.
Il était 7 heures, hier matin quand j'ai quitté la maison, et nous sommes arrivés ce soir à Ojiya à 21 heures ( soit 14 heures, heures française )... ce sont 31 heures de trajet que nous achevons donc.
Et après un rapide dîner, nous constatons que les connections internet de nos chambres d'hôtel ne fonctionnent pas :-(
Après 1 bonne heure de jardinage informatique nous abdiquons.
La journée aurait pu être meilleure en somme.
En guise d'excuses, je vous écris ces quelques lignes depuis le poste fixe de l'hôtel, qui me gratifie au passage de son clavier à la "Champollion", et je vous donne RDV demain, à la même heure, pour un compte rendu de la première -vraie- journée, qui sera je pense,,, j'espère,,, j'en suis sûr,,, plus consistant.
A demain... en haut débit ^_^
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Couleurs de Niigata, Hunting "automne 2013" japon
Couleurs de Niigata - En direct du Japon - Hunting "automne 2013"
Jour 2, mercredi 23 octobre.
Bonjour à tous.
Nous connaissons toujours d'importants problèmes de connections internet ce soir dans notre hôtel, mais une parade a été possible.
Je vous livre donc, dans une version un peu light, la première journée de notre hunting "automne 2013".
Comme chaque année, nous entamons notre prospection par la visite de quelques-uns de nos éleveurs fétiches.
Shinoda, Hiroï, Yagenji ...
Shinoda n'étant pas présent, nous repoussons à cette après-midi sa visite et allons chez Kazuyoshi et Nabuyoki, les jumeaux HIROI.
Matcho nous guide aujourd'hui, et nous prodigue, comme à son habitude ses précieux conseils.
Nous sélectionnons plusieurs nisaïs, dans différents niveaux de qualité.
Nous jetons au passage un coup d'oeil dans le bassin des sansaïs, sans toutefois y tremper notre épuisette.
Tchoto takaï !
Un' tout p'tit peu trop cher !
Notre dévolu se portera plutôt sur les nisaïs, essentiellement femelles, et de belle taille.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata, ce sanke et ce showa ci-dessus, tous deux ginrins.
Puis, de qualité supérieure, ces deux autres gosankes ci-dessous.
Un doitsu showa et un ginrin goshiki, très prometteurs, mesurant plus de 50 cm, femelles, et,,, magnifiques.
J'adore !!!
11 heures déjà, nous avons tout juste le temps de passer chez Yagenji avant la pause déjeuner.
Des nisaïs sont tout juste rentrés d'ikéage dans les bassins extérieurs.
Nous entrons dans la koï-house pour la visite de contrôle habituelle.
Beaucoup de nisaïs sont en stock, dont de nombreux poissons intéressants.
Epuisette, chaussette, bowl, c'est parti pour le grand schlem des 5 grands et profonds bassins de vente.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessus et dessous, pour les magasins Couleurs de Niigata, magasins dont vous retrouverez la liste en cliquant ICI.
D'abord deux kohakus, puis deux kikusuis ci-dessous.
Ce splendide shiro-utsuri femelle.
Un ginrin kohaku kuchibeni et un nouveau shiro utsuri.
Et pour terminer avec les nisaïs, ce magnifique showa.
Show-class et très prometteur !
Vient ensuite le tour des sansaïs, dans lesquels je sélectionne ce karashi de 65 cm environ.
A la robe old school et au body parfait.
Je termine avec ce kohaku au style "chic" et au body "choc".
Grâce au volume total acheté pour ces sansaïs, nous obtenons un prix imbattable.
En effet ces sansaïs d'excellente qualité, au fort potentiel et mesurant tous plus de 60 cm seront proposés aux alentours de 1200 euros.
Vient maintenant l'heure du déjeuner, puis la visite prévue chez Shinoda.
L'après-midi, très chargée, passe en un éclair.
Nous écumons tous les bacs de koïs âgés de deux étés, sans en omettre un seul.
Je sélectionne pour les magasins CDN ces nisaïs.
Ci-dessus, 100 % femelle.
Doitsu kohaku, doitsu sanke et doitsu showa, c'est la valse des doïtsus Shinoda.
Je choisis ensuite quelques wagoïs ( koïs entièrement écailleux, par opposition aux doïtsus ).
Hi utsuri.
Ginrin-showas ensuite.
Il commence à faire nuit dehors, nous trions nos derniers nisaïs dans des qualités plus élevées.
Et voilà !
Notre "bourriche" pèse déjà joliment sur notre épaule...
Nous achevons cette première journée de sélection satisfaits, heureux même oserais-je dire.
Quantité, qualité, prix et conditions étaient au rendez-vous.
Il fait nuit noire dehors depuis près d'une heure.
Retour à l'hôtel.
Nous remontons dans la très jolie voiture de Matcho, qui est une série limitée, les plus observateurs d'entre vous l'auront déjà remarqué.
Je vous dis à demain pour la suite de nos aventures.
Au programme, retour chez Shinoda pour acheter quelques sansaïs cette fois-ci, puis, chez Yagenji car un lot de poissons intéressants sera pêché demain... ensuite l'improvisation prendra le relais !
A demain.
Dicton de la journée
Si la connexion internet de l'hôtel ne fonctionne toujours pas....... passer au plan B,,,,,,, puis au plan C,,,,,,, ou encore au plan D.
Petite dédicace à mes vaillants acolytes de voyage, qui ne ménagent pas leur peine, et ne compte pas leur temps, pour éditer leurs reportages respectifs. BIG UP
Jour 2, mercredi 23 octobre.
Bonjour à tous.
Nous connaissons toujours d'importants problèmes de connections internet ce soir dans notre hôtel, mais une parade a été possible.
Je vous livre donc, dans une version un peu light, la première journée de notre hunting "automne 2013".
Comme chaque année, nous entamons notre prospection par la visite de quelques-uns de nos éleveurs fétiches.
Shinoda, Hiroï, Yagenji ...
Shinoda n'étant pas présent, nous repoussons à cette après-midi sa visite et allons chez Kazuyoshi et Nabuyoki, les jumeaux HIROI.
Matcho nous guide aujourd'hui, et nous prodigue, comme à son habitude ses précieux conseils.
Nous sélectionnons plusieurs nisaïs, dans différents niveaux de qualité.
Nous jetons au passage un coup d'oeil dans le bassin des sansaïs, sans toutefois y tremper notre épuisette.
Tchoto takaï !
Un' tout p'tit peu trop cher !
Notre dévolu se portera plutôt sur les nisaïs, essentiellement femelles, et de belle taille.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata, ce sanke et ce showa ci-dessus, tous deux ginrins.
Puis, de qualité supérieure, ces deux autres gosankes ci-dessous.
Un doitsu showa et un ginrin goshiki, très prometteurs, mesurant plus de 50 cm, femelles, et,,, magnifiques.
J'adore !!!
11 heures déjà, nous avons tout juste le temps de passer chez Yagenji avant la pause déjeuner.
Des nisaïs sont tout juste rentrés d'ikéage dans les bassins extérieurs.
Nous entrons dans la koï-house pour la visite de contrôle habituelle.
Beaucoup de nisaïs sont en stock, dont de nombreux poissons intéressants.
Epuisette, chaussette, bowl, c'est parti pour le grand schlem des 5 grands et profonds bassins de vente.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessus et dessous, pour les magasins Couleurs de Niigata, magasins dont vous retrouverez la liste en cliquant ICI.
D'abord deux kohakus, puis deux kikusuis ci-dessous.
Ce splendide shiro-utsuri femelle.
Un ginrin kohaku kuchibeni et un nouveau shiro utsuri.
Et pour terminer avec les nisaïs, ce magnifique showa.
Show-class et très prometteur !
Vient ensuite le tour des sansaïs, dans lesquels je sélectionne ce karashi de 65 cm environ.
A la robe old school et au body parfait.
Je termine avec ce kohaku au style "chic" et au body "choc".
Grâce au volume total acheté pour ces sansaïs, nous obtenons un prix imbattable.
En effet ces sansaïs d'excellente qualité, au fort potentiel et mesurant tous plus de 60 cm seront proposés aux alentours de 1200 euros.
Vient maintenant l'heure du déjeuner, puis la visite prévue chez Shinoda.
L'après-midi, très chargée, passe en un éclair.
Nous écumons tous les bacs de koïs âgés de deux étés, sans en omettre un seul.
Je sélectionne pour les magasins CDN ces nisaïs.
Ci-dessus, 100 % femelle.
Doitsu kohaku, doitsu sanke et doitsu showa, c'est la valse des doïtsus Shinoda.
Je choisis ensuite quelques wagoïs ( koïs entièrement écailleux, par opposition aux doïtsus ).
Hi utsuri.
Ginrin-showas ensuite.
Il commence à faire nuit dehors, nous trions nos derniers nisaïs dans des qualités plus élevées.
Et voilà !
Notre "bourriche" pèse déjà joliment sur notre épaule...
Nous achevons cette première journée de sélection satisfaits, heureux même oserais-je dire.
Quantité, qualité, prix et conditions étaient au rendez-vous.
Il fait nuit noire dehors depuis près d'une heure.
Retour à l'hôtel.
Nous remontons dans la très jolie voiture de Matcho, qui est une série limitée, les plus observateurs d'entre vous l'auront déjà remarqué.
Je vous dis à demain pour la suite de nos aventures.
Au programme, retour chez Shinoda pour acheter quelques sansaïs cette fois-ci, puis, chez Yagenji car un lot de poissons intéressants sera pêché demain... ensuite l'improvisation prendra le relais !
A demain.
Dicton de la journée
Si la connexion internet de l'hôtel ne fonctionne toujours pas....... passer au plan B,,,,,,, puis au plan C,,,,,,, ou encore au plan D.
Petite dédicace à mes vaillants acolytes de voyage, qui ne ménagent pas leur peine, et ne compte pas leur temps, pour éditer leurs reportages respectifs. BIG UP
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Couleurs de Niigata et Shinoda, Yagenji, Kataoka
Couleurs de Niigata, en direct du japon, et Shinoda, Yagenji, Kataoka
Jour 3, jeudi 24 octobre.
Bonjour à tous.
Shinoda, Yagenji et Kataoka, sont les 3 breeders que nous visiterons aujourd'hui.
Hier soir nous avions prévu une sélection de sansaïs chez le premier, quelques karashigoïs nous attendent normalement chez le deuxième, quand au troisième, nous espérons vivement y trouver les désormais célèbres Ooya sankes.
Masanori Shinoda nous accueille avec le "ohayo gosaïmass" de rigueur, un café frappé et son habituelle moue renfrognée...
Mais ne vous y trompez pas, Masanori-san est un breeder très agréable, à l'écoute de ses clients réguliers, et qui produit d'excellents koïs dont les principales variétés sont: doitsu gosanke, hi utsuri et ginrin showa. Ses koïs sont de surcroît très robustes.
Hier soir Masanori-san nous a parlé d'un "super deal" à faire sur ses sansaïs.
Pour une certaine quantité achetée, il nous proposait un prix que nous ne pouvions pas refuser: une remise de quasiment 50 % !
Normandie Koï, l'Oasis et moi-même pour nos autres magasins Couleurs de Niigata, allons sélectionner durant une partie de la matinée, plusieurs de ces koïs âgés de 3 étés.
Je prend au final un échantillon complet des variétés Shinoda.
Un ginrin showa femelle, au rutilant ginrin d'environ 55 cm
Un hi-utsuri ultra massif, dont le body est parfait et le pattern bien balancé. Il mesure 60 cm environ.
Un doitsu kohaku à l'agréable motif et au beni profond, d'environ 55 cm.
Le dernier lauréat à remporter mon petit concours est ce hi-utsuri herculéen.
60 cm de beauté brute. Body shape, peau, taille, pattern aucune qualité ne manque à cette jeune femelle.
La maison Shinoda, est une des rares koï-farm à utiliser exclusivement ses propres lignées de sang. Héritées de son père ( encore en activité d'ailleurs dans la ferme ) ces blood-lines sont très réputées, ce qui n'empêche pas Masanori-san de les faire évoluer progressivement.
11 heures déjà, les frères Yagenji nous attendent à Mushigame.
Et les karashigoïs sont bien là.
Malheureusement, c'est une piètre année pour les karashigoïs.
Sur les 40 nisaïs escomptés, seule une vingtaine de sujets de qualité suffisante répondent à l'appel.
L'Oasis et Normandie Koï se partagent ce maigre butin, mais leur sélection est très satisfaisante.
Je demande aux frères Yagenji si d'autres nisaïs seront pêchés prochainement... Demain fin de matinée !
Parfait, nous serons à nouveau là demain en tout début d'après-midi.
Mais avant de partir, nous sélectionnons encore quelques très jolis nisaïs, que nous nous partageons.
La pluie fine qui commence à tomber, n'empêche pas Cédric de faire son tri.
Je prends pour les magasins CDN, les nisaïs ci-dessous.
Kikusui, shiro-utsuri, kohaku, sanke, l'assortiment est superbe.
C'est l'heure de la pause. Courte mais réparatrice.
Nous voici maintenant chez Taro Kataoka, à la Ooya Koï Farm.
Sankes êtes-vous là ?
Oui, ils sont bien là. Et la qualité est présente elle aussi.
La sélection commence par les nisaïs.
Thomas et Cédric craquent pour un joli kohaku et un superbe sanke.
Frédéric et David craquent eux pour 2 magnifiques sankes très bien taillés.
Un maruten sanke.
Et un élégant sanke au motif fleuri.
Taro-san nous propose encore ce sanke ci-dessous, mais le budget n'est pas raisonnable du tout !
Dommage il est vraiment classe.
Nous changeons de site, et montons plus haut dans la montagne, jusqu'à Shiyodani, pour y voir les sankes de 3 ans.
Arrivés sur place, Taro-san nous explique que nous sommes chanceux, car nous allons profiter du premier choix sur un lot de 22 sansaïs sankes qui vient tout juste d'être rentré.
Ils tous très, très bien taillés ! de 60 à 70 cm !
Certains sont plutôt élégants, d'autres possèdent des patterns originaux, d'autres encore ont des bodies puissants.
Il y en a pour tous les goûts.
3 pour l'Oasis, 3 pour Normandie Koï, et 4 ci-dessous pour les autres magasins Couleurs de Niigata.
Ces 10 koïs achetés sur un lot de 22, nous permettent une nouvelle fois d'obtenir un prix de gros plus que raisonnable.
Après de dures négociations, Taro accède à ma demande en nous faisant une remise de 30 %.
De grands et qualitatifs sansaïs sankes Ooya, à un prix imbattable, nous n'aurions pu espérer meilleure conclusion pour cette deuxième journée de sélection.
Si vous souhaitez en apprendre un peu plus sur les éleveurs chez qui nous sommes passé hier et aujourd'hui, je vous invite à visiter le site de notre partenaire SANICHIKAÏ.
C'est un très joli site, malheureusement en anglais, mais il vaut le coup d'oeil.
SANICHIKAÏ
http://sannichikai.com/index1e.html
A demain.
Jour 3, jeudi 24 octobre.
Bonjour à tous.
Shinoda, Yagenji et Kataoka, sont les 3 breeders que nous visiterons aujourd'hui.
Hier soir nous avions prévu une sélection de sansaïs chez le premier, quelques karashigoïs nous attendent normalement chez le deuxième, quand au troisième, nous espérons vivement y trouver les désormais célèbres Ooya sankes.
Masanori Shinoda nous accueille avec le "ohayo gosaïmass" de rigueur, un café frappé et son habituelle moue renfrognée...
Mais ne vous y trompez pas, Masanori-san est un breeder très agréable, à l'écoute de ses clients réguliers, et qui produit d'excellents koïs dont les principales variétés sont: doitsu gosanke, hi utsuri et ginrin showa. Ses koïs sont de surcroît très robustes.
Hier soir Masanori-san nous a parlé d'un "super deal" à faire sur ses sansaïs.
Pour une certaine quantité achetée, il nous proposait un prix que nous ne pouvions pas refuser: une remise de quasiment 50 % !
Normandie Koï, l'Oasis et moi-même pour nos autres magasins Couleurs de Niigata, allons sélectionner durant une partie de la matinée, plusieurs de ces koïs âgés de 3 étés.
Je prend au final un échantillon complet des variétés Shinoda.
Un ginrin showa femelle, au rutilant ginrin d'environ 55 cm
Un hi-utsuri ultra massif, dont le body est parfait et le pattern bien balancé. Il mesure 60 cm environ.
Un doitsu kohaku à l'agréable motif et au beni profond, d'environ 55 cm.
Le dernier lauréat à remporter mon petit concours est ce hi-utsuri herculéen.
60 cm de beauté brute. Body shape, peau, taille, pattern aucune qualité ne manque à cette jeune femelle.
La maison Shinoda, est une des rares koï-farm à utiliser exclusivement ses propres lignées de sang. Héritées de son père ( encore en activité d'ailleurs dans la ferme ) ces blood-lines sont très réputées, ce qui n'empêche pas Masanori-san de les faire évoluer progressivement.
11 heures déjà, les frères Yagenji nous attendent à Mushigame.
Et les karashigoïs sont bien là.
Malheureusement, c'est une piètre année pour les karashigoïs.
Sur les 40 nisaïs escomptés, seule une vingtaine de sujets de qualité suffisante répondent à l'appel.
L'Oasis et Normandie Koï se partagent ce maigre butin, mais leur sélection est très satisfaisante.
Je demande aux frères Yagenji si d'autres nisaïs seront pêchés prochainement... Demain fin de matinée !
Parfait, nous serons à nouveau là demain en tout début d'après-midi.
Mais avant de partir, nous sélectionnons encore quelques très jolis nisaïs, que nous nous partageons.
La pluie fine qui commence à tomber, n'empêche pas Cédric de faire son tri.
Je prends pour les magasins CDN, les nisaïs ci-dessous.
Kikusui, shiro-utsuri, kohaku, sanke, l'assortiment est superbe.
C'est l'heure de la pause. Courte mais réparatrice.
Nous voici maintenant chez Taro Kataoka, à la Ooya Koï Farm.
Sankes êtes-vous là ?
Oui, ils sont bien là. Et la qualité est présente elle aussi.
La sélection commence par les nisaïs.
Thomas et Cédric craquent pour un joli kohaku et un superbe sanke.
Frédéric et David craquent eux pour 2 magnifiques sankes très bien taillés.
Un maruten sanke.
Et un élégant sanke au motif fleuri.
Taro-san nous propose encore ce sanke ci-dessous, mais le budget n'est pas raisonnable du tout !
Dommage il est vraiment classe.
Nous changeons de site, et montons plus haut dans la montagne, jusqu'à Shiyodani, pour y voir les sankes de 3 ans.
Arrivés sur place, Taro-san nous explique que nous sommes chanceux, car nous allons profiter du premier choix sur un lot de 22 sansaïs sankes qui vient tout juste d'être rentré.
Ils tous très, très bien taillés ! de 60 à 70 cm !
Certains sont plutôt élégants, d'autres possèdent des patterns originaux, d'autres encore ont des bodies puissants.
Il y en a pour tous les goûts.
3 pour l'Oasis, 3 pour Normandie Koï, et 4 ci-dessous pour les autres magasins Couleurs de Niigata.
Ces 10 koïs achetés sur un lot de 22, nous permettent une nouvelle fois d'obtenir un prix de gros plus que raisonnable.
Après de dures négociations, Taro accède à ma demande en nous faisant une remise de 30 %.
De grands et qualitatifs sansaïs sankes Ooya, à un prix imbattable, nous n'aurions pu espérer meilleure conclusion pour cette deuxième journée de sélection.
Si vous souhaitez en apprendre un peu plus sur les éleveurs chez qui nous sommes passé hier et aujourd'hui, je vous invite à visiter le site de notre partenaire SANICHIKAÏ.
C'est un très joli site, malheureusement en anglais, mais il vaut le coup d'oeil.
SANICHIKAÏ
http://sannichikai.com/index1e.html
A demain.
- Couleurs de Niigata
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- Localisation : Saint-Georges-sur-Baulche
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Couleurs de Niigata- En direct du japon - Le kohaku
Couleurs de Niigata, Le kohaku, En direct du japon.
Jour 4, vendredi 25 octobre.
Bonjour à tous.
Courte journée que ce vendredi 25 octobre.
De nombreux "brain-storm" au programme aujourd'hui, mais assez peu d'achats.
Car nous avions épinglé à notre tableau de chasse journalier une variété difficile: le kohaku !!!
Nous débutons la journée en visitant la Torazo Koï Farm, mais uniquement pour prendre la température, car la ferme de Tsuyoshi KAWAKAMI est un "baromètre kohaku" intéressant.
Mais rendons d'abord visite à la Sakazume Koï Farm qui se trouve sur notre chemin.
Nous y achetons chaque année de joli koromos. Mais la ferme propose aussi quelques yamabukis.
Je sélectionne ces nisaïs pour commencer.
Puis nous sélectionnons quelques koïs plus âgés pour l'Oasis et Normandie Koï, avec l'aide précieuse de Matcho !
Vient enfin le moment de sélectionner quelques spécialités de la ferme.
Je choisis pour les magasins Couleurs de Niigata, les aï-goromos ci-dessous.
Essentiellement femelles, et de très belle qualité, ils nous permettront d'avoir une offre complète et qualitative, dans les magasins CDN.
Puis la quête des kohakus reprend.
Nous passons chez le prestigieux éleveur de kohaku: Nogami.
Chez les kohaku-addicts, l'évocation seule de ce nom, suffit à susciter l'émoi.
Le groupe est scotché devant la qualité des grands kohakus de la ferme... je le suis tout autant !!!
Le site, très propre, très bien agencé et composé de nombreux bassins aux eaux limpides, regorge de kohakus show-class, tategoï, ou de très qrande qualité à minima.
Nous demandons deux ou trois prix, faisons pêcher quelques nisaïs et sansaïs, mais les budgets atteignent des sommets aussi élevés que la qualité des kohakus.
Allez, nous filons, non sans laisser une option ou deux... pour nous rendre à notre rendez-vous de début d'après-midi à la Yagenji koï Farm.
Une pause sandwich sur le pouce en cours de route, un café offert par les frères Yagenji, et nous voilà fin prêts.
Nous attaquons la sélection dans les bassins, qui viennent de recevoir 250 nisaïs fraichement pêchés.
La pêche et le tri durent quelques heures, et les deux équipes Couleurs de Niigata, la normande et la bourguigonne, sont très scrupuleuses sur leurs choix.
Je sélectionne pour les autres magasins du collectif, non moins scrupuleusement, les nisaïs en photos ci-dessous.
L'heure tourne, Cédric et Thomas pour l'Oasis, David et Frédéric pour Normandie Koï, recherchent toujours plusieurs kohakus.
Nous retournons comme prévu chez Torazo.
Arrivés sur place, les deux magasins savent déjà ce qu'ils sont venu chercher et s'activent aussitôt.
Tsuyoshi Kawakami le patron de Torazo Koï Farm nous donne les prix et pêche les différents koïs demandés.
Les premiers à faire feux sont les normands avec ce magnifique gosaï kohaku sandan, sur lequel ils prennent une sérieuse option.
L'Oasis suit de près, avec l'achat d'un autre kohaku, yonsaï cette fois-ci, que je n'ai pas pu prendre en photo correctement.
Une pièce exceptionnelle elle aussi.
Normandie Koï récidive avec un sanke de 4 étés, et nous ne nous arrêtons pas là.
C'est au tour du bassin des nisaïs maintenant.
L'Oasis prendra encore 2 nisaïs femelles kohakus: un tancho et un exceptionnel et prometteur sandan kohaku.
Normandie Koï clôt le bal, avec 3 autres nisaïs de plus de 50 cm, qui satisferont les plus exigeants des passionnés.
Ci-dessous deux des trois exemplaires.
La nuit s'est installée à l'extérieur depuis plus d'une demi-heure.
Le temps est venu pour nous de rentrer au bercail.
Demain, la journée s'annonce plutôt légère, car le Niigata Nogyosaï koï-show a lieu à Ojiya et tous les breeders seront présents.
Du coup nous avons prévu de visiter le koï-show durant une bonne partie de la journée, puisque la majorité des koï-houses ne nous seront pas ouvertes.
Mata-ashita !
Jour 4, vendredi 25 octobre.
Bonjour à tous.
Courte journée que ce vendredi 25 octobre.
De nombreux "brain-storm" au programme aujourd'hui, mais assez peu d'achats.
Car nous avions épinglé à notre tableau de chasse journalier une variété difficile: le kohaku !!!
Nous débutons la journée en visitant la Torazo Koï Farm, mais uniquement pour prendre la température, car la ferme de Tsuyoshi KAWAKAMI est un "baromètre kohaku" intéressant.
Mais rendons d'abord visite à la Sakazume Koï Farm qui se trouve sur notre chemin.
Nous y achetons chaque année de joli koromos. Mais la ferme propose aussi quelques yamabukis.
Je sélectionne ces nisaïs pour commencer.
Puis nous sélectionnons quelques koïs plus âgés pour l'Oasis et Normandie Koï, avec l'aide précieuse de Matcho !
Vient enfin le moment de sélectionner quelques spécialités de la ferme.
Je choisis pour les magasins Couleurs de Niigata, les aï-goromos ci-dessous.
Essentiellement femelles, et de très belle qualité, ils nous permettront d'avoir une offre complète et qualitative, dans les magasins CDN.
Puis la quête des kohakus reprend.
Nous passons chez le prestigieux éleveur de kohaku: Nogami.
Chez les kohaku-addicts, l'évocation seule de ce nom, suffit à susciter l'émoi.
Le groupe est scotché devant la qualité des grands kohakus de la ferme... je le suis tout autant !!!
Le site, très propre, très bien agencé et composé de nombreux bassins aux eaux limpides, regorge de kohakus show-class, tategoï, ou de très qrande qualité à minima.
Nous demandons deux ou trois prix, faisons pêcher quelques nisaïs et sansaïs, mais les budgets atteignent des sommets aussi élevés que la qualité des kohakus.
Allez, nous filons, non sans laisser une option ou deux... pour nous rendre à notre rendez-vous de début d'après-midi à la Yagenji koï Farm.
Une pause sandwich sur le pouce en cours de route, un café offert par les frères Yagenji, et nous voilà fin prêts.
Nous attaquons la sélection dans les bassins, qui viennent de recevoir 250 nisaïs fraichement pêchés.
La pêche et le tri durent quelques heures, et les deux équipes Couleurs de Niigata, la normande et la bourguigonne, sont très scrupuleuses sur leurs choix.
Je sélectionne pour les autres magasins du collectif, non moins scrupuleusement, les nisaïs en photos ci-dessous.
L'heure tourne, Cédric et Thomas pour l'Oasis, David et Frédéric pour Normandie Koï, recherchent toujours plusieurs kohakus.
Nous retournons comme prévu chez Torazo.
Arrivés sur place, les deux magasins savent déjà ce qu'ils sont venu chercher et s'activent aussitôt.
Tsuyoshi Kawakami le patron de Torazo Koï Farm nous donne les prix et pêche les différents koïs demandés.
Les premiers à faire feux sont les normands avec ce magnifique gosaï kohaku sandan, sur lequel ils prennent une sérieuse option.
L'Oasis suit de près, avec l'achat d'un autre kohaku, yonsaï cette fois-ci, que je n'ai pas pu prendre en photo correctement.
Une pièce exceptionnelle elle aussi.
Normandie Koï récidive avec un sanke de 4 étés, et nous ne nous arrêtons pas là.
C'est au tour du bassin des nisaïs maintenant.
L'Oasis prendra encore 2 nisaïs femelles kohakus: un tancho et un exceptionnel et prometteur sandan kohaku.
Normandie Koï clôt le bal, avec 3 autres nisaïs de plus de 50 cm, qui satisferont les plus exigeants des passionnés.
Ci-dessous deux des trois exemplaires.
La nuit s'est installée à l'extérieur depuis plus d'une demi-heure.
Le temps est venu pour nous de rentrer au bercail.
Demain, la journée s'annonce plutôt légère, car le Niigata Nogyosaï koï-show a lieu à Ojiya et tous les breeders seront présents.
Du coup nous avons prévu de visiter le koï-show durant une bonne partie de la journée, puisque la majorité des koï-houses ne nous seront pas ouvertes.
Mata-ashita !
- christine
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Re: Couleurs de Niigata. En direct du japon
Le kohaku de gauche sur la dernière photo est à mon goût avec son nez façon Bozo !
► http://www.forum-bassin.com/Accueil/For ... Bassin.pdf
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
- Couleurs de Niigata
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Niigata Nogyosaï koï-show à Ojiya
Niigata Nogyosaï koï-show à Ojiya
Couleurs de Niigata, En direct du japon
Jour 5, samedi 26 octobre.
Bonjour à tous.
Ce week-end a lieu le Niigata Nogyosaï koï-show à Ojiya.
Plus de 160 bassins, des dizaines de sacs contenants les plus petits lauréats posés à même le sol, et plusieurs centaines de koïs en concours.
C'est un évènement majeur dans le monde du koï, car il permet aux éleveurs de se mesurer entre eux, en y présentant la crème de leur production annuelle.
L'inconvénient, est que les éleveurs sont peu disponibles dans leurs koï-houses pour nous recevoir.
Mais nous avons pu, hier soir, négocier deux rendez-vous pour cette après-midi: Yamazaki et Maruzaka koï farm.
En attendant, direction l'endroit où il faut être aujourd'hui: le koï-show.
Aujourd'hui c'est la journée professionnelle, le koï-show ne sera ouvert au public que demain dimanche.
Les allées sont donc agréablement fluide !
Petit tour des paddocks.
Ci-dessus un koï étrange ! Difficile de comprendre comment l'éleveur a obtenu ce résultat, et quelle était son projet de départ.
Ci-dessous un joli goshiki.
De très nombreux kohakus d'excellente qualité sont présentés.
Ci-dessus un doitsu goshiki, et ci-dessous un élégant tsubo sumi sanke ( le sumi n'apparait que dans le blanc ou shiroï ).
Ci-dessous un kage ( prononcer kaguè) shiro utsuri.
Pfffiuo ! Il est déjà 11 h 30 et je n'ai pas parcouru la moitié du koï-show.
C'est fou ce que le temps passe vite à admirer autant de beautés.
Je ne suis même pas passer devant les bassins des grands gosankes, potentiels Grand Champion...
Zou nous filons chez Manabu Yamazaki, après avoir pris un rapide déjeuner.
Yamazaki-san ou Manabu-san, nous accueille très chaleureusement comme d'habitude, et nous ouvre la serre des nisaïs et sansaïs.
Je sélectionne pour nos magasins partenaires, les sansaïs ci-dessous.
Puis les nisaïs ci-dessous.
Nous passons ensuite dans la serre des yonsaïs et gosaïs ( 4 et 5 étés).
Je flashe immédiatement sur quelques soragoïs qui nagent dans le grand bassin du fond.
Avec l'aide de Yamazaki-san je pêche les trois seuls sujets disponibles pour les examiner de plus près.
Un yonsaï laisse apparaitre un petit shimi parasite ( petite tâche noire ).
Un autre yonsaï ginrin soragoï a lui aussi quelques shimis.
Seul ce gosaï ci-dessus, de 70 cm environ est tout à fait clean.
Il est parfait.
Je demande le prix à Manabu-san, et mets une option dessus... Je dois y réfléchir un peu avant de me décider, car le prix est assez élevé, mais il est justifié du fait de sa qualité, et de la rareté de cette variété.
Puis nous pêchons le dernier koï qui me fait de l'oeil, un magnifique ginrin ochiba.
Il est suffisament beau lui aussi, pour que je mette une option dessus quelques jours.
Il est bientôt 16 heures, la nuit approche, nous quittons la Yamazaki koï-farm pour aller rendre visite à Chogoro car il est trop tard pour rendre visite à la Maruzaka koï farm.
Malheureusement Nabuoki Hiroï n'est pas là. Il aide à l'organisation du koï-show.
Nous prenons quelques photos de ses célèbres tamasabas, et remettons cette visite à demain.
Retour à l'hôtel en passant par la Marusei Koï farm, histoire de jeter un oeil sur deux ou trois poissons, et prendre la température pour peut être revenir demain.
Mes compagnons de voyage étaient un peu fatigués aujourd'hui, mais ils ont tout de même assuré le spectacle, et peaufiné leur sélection.
Je vous souhaite un bon week-end et vous dis à demain.
Couleurs de Niigata, En direct du japon
Jour 5, samedi 26 octobre.
Bonjour à tous.
Ce week-end a lieu le Niigata Nogyosaï koï-show à Ojiya.
Plus de 160 bassins, des dizaines de sacs contenants les plus petits lauréats posés à même le sol, et plusieurs centaines de koïs en concours.
C'est un évènement majeur dans le monde du koï, car il permet aux éleveurs de se mesurer entre eux, en y présentant la crème de leur production annuelle.
L'inconvénient, est que les éleveurs sont peu disponibles dans leurs koï-houses pour nous recevoir.
Mais nous avons pu, hier soir, négocier deux rendez-vous pour cette après-midi: Yamazaki et Maruzaka koï farm.
En attendant, direction l'endroit où il faut être aujourd'hui: le koï-show.
Aujourd'hui c'est la journée professionnelle, le koï-show ne sera ouvert au public que demain dimanche.
Les allées sont donc agréablement fluide !
Petit tour des paddocks.
Ci-dessus un koï étrange ! Difficile de comprendre comment l'éleveur a obtenu ce résultat, et quelle était son projet de départ.
Ci-dessous un joli goshiki.
De très nombreux kohakus d'excellente qualité sont présentés.
Ci-dessus un doitsu goshiki, et ci-dessous un élégant tsubo sumi sanke ( le sumi n'apparait que dans le blanc ou shiroï ).
Ci-dessous un kage ( prononcer kaguè) shiro utsuri.
Pfffiuo ! Il est déjà 11 h 30 et je n'ai pas parcouru la moitié du koï-show.
C'est fou ce que le temps passe vite à admirer autant de beautés.
Je ne suis même pas passer devant les bassins des grands gosankes, potentiels Grand Champion...
Zou nous filons chez Manabu Yamazaki, après avoir pris un rapide déjeuner.
Yamazaki-san ou Manabu-san, nous accueille très chaleureusement comme d'habitude, et nous ouvre la serre des nisaïs et sansaïs.
Je sélectionne pour nos magasins partenaires, les sansaïs ci-dessous.
Puis les nisaïs ci-dessous.
Nous passons ensuite dans la serre des yonsaïs et gosaïs ( 4 et 5 étés).
Je flashe immédiatement sur quelques soragoïs qui nagent dans le grand bassin du fond.
Avec l'aide de Yamazaki-san je pêche les trois seuls sujets disponibles pour les examiner de plus près.
Un yonsaï laisse apparaitre un petit shimi parasite ( petite tâche noire ).
Un autre yonsaï ginrin soragoï a lui aussi quelques shimis.
Seul ce gosaï ci-dessus, de 70 cm environ est tout à fait clean.
Il est parfait.
Je demande le prix à Manabu-san, et mets une option dessus... Je dois y réfléchir un peu avant de me décider, car le prix est assez élevé, mais il est justifié du fait de sa qualité, et de la rareté de cette variété.
Puis nous pêchons le dernier koï qui me fait de l'oeil, un magnifique ginrin ochiba.
Il est suffisament beau lui aussi, pour que je mette une option dessus quelques jours.
Il est bientôt 16 heures, la nuit approche, nous quittons la Yamazaki koï-farm pour aller rendre visite à Chogoro car il est trop tard pour rendre visite à la Maruzaka koï farm.
Malheureusement Nabuoki Hiroï n'est pas là. Il aide à l'organisation du koï-show.
Nous prenons quelques photos de ses célèbres tamasabas, et remettons cette visite à demain.
Retour à l'hôtel en passant par la Marusei Koï farm, histoire de jeter un oeil sur deux ou trois poissons, et prendre la température pour peut être revenir demain.
Mes compagnons de voyage étaient un peu fatigués aujourd'hui, mais ils ont tout de même assuré le spectacle, et peaufiné leur sélection.
Je vous souhaite un bon week-end et vous dis à demain.
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Couleurs de Niigata - le koï-show d'Ojiya - Automne2013
Couleurs de Niigata - le koï-show d'Ojiya - En direct du Japon. Automne2013
Jour 6, dimanche 27 octobre.
Bonjour à tous.
Le koï-show d'Ojiya ouvre ses portes au public ce matin, et les éleveurs sont toujours autant occupés par l'organisation de cet évènement.
Nous avons toutefois réussi à placer plusieurs rendez-vous aujourd'hui, qui devraient largement remplir notre journée.
Mais tout d'abord, petit détour par le Nagaoka Nogyosaï koï-show, pour une courte séance photo, avant d'entamer réellement notre journée de chasse aux koïs.
Ci-dessous un kohaku .... idéal .... du breeder Nogami.
C'était un sérieux challenger à la plus haute marche du podium de ce koï-show.
Et voici pour terminer, le gagnant de ce koï-show, le Grand Champion, un showa au pattern original, de l'éleveur Isa.
Les qualités qui ont permis à ce showa de remporter le prix le plus envié de l'évènement sont nombreuses.
Le body élancé mais dégageant beaucoup de puissance, possède un shape parfait.
La peau d'une blancheur pure et sans aucune nuance parasite, ne trahit pas l'âge de ce koï qui parait bien plus jeune.
Le beni d'une fraicheur et d'une luminosité exemplaires, rend le contraste avec le sumi d'un noir absolu et brillant... spectaculaire.
Quand au pattern, même si cet aspect est plus subjectif, il ne trahit aucun défaut et s'offre même le luxe d'être atypique:
- les dans ( ou taches) de sumi sont bien regroupées et ne laissent echapper aucun sumi ou shimi farfelu
- le beni pattern est idéalement proportionné et agréablement disposé
- 85 cm !!! une taille impressionnante
- et pour finir, un symétrique et épais motoguro vient sérieusement réhausser la beauté de l'ensemble !
Félicitations à son "papa", Mitsunori-san, le propriétaire d' Isa koï farm.
...
Bon...le réveil sonne.... arrêtons quelques instant de rêver s'il vous plait.
Et filons dans la montagne compléter notre sélection automnale 2013.
Notre première visite est pour la Marusaka koï-farm.
Spécialiste des benikikokuryus, kikusuis, doitsu-gosankes, kujakus, sankes, kinki-utsuris, doitsu-kujakus et moindrement quelques autres variétés métalliques telles kin-showa, gin-shiro,yamatonishiki, etc.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessous.
Quelques kin-kikokuryus, une sous-variété kikokuryu assez rare.
Je complète ensuite ma boite avec deux doitsu-kohakus.
Puis nous sélectionnons des kinki-utsuris et des midorigoïs.
Je trie les kinkis ci-dessous.
Ils sont très jaune, et de bonne qualité. Je prends quelques midorigoïs pour les accompagner.
Notre sélection de nisaïs et sansaïs terminée, nous allons admirer les sujets de qualité supérieure dans une serre proche.
Un très joli doitsu kin-showa dans le premier bassin me fait bonne impression. Nous le pêchons pour l'inspecter.
Il est tout simplement spectaculaire !
Après discussions, hésitations, explications et négociation je décide le prendre.
Ce koï, très haut de gamme, participera peut être à certains koï-show sous la bannière Couleurs de Niigata.
Je suis très heureux de cet achat. Rare, qualitatif, original, une réelle pièce de collection doublée d'un vrai koï de show.
Je remercie plusieurs fois l'éleveur et Matcho qui m'ont permis d'acquérir cette petite merveille.
Pause déjeuner !
Et maintenant visite chez Chogoro koï farm, dirigée par Nabuoki Hiroï, l'homme qui ne mets aucune couleur à ses pinceaux pour produire de néanmoins magnifiques koïs: les purachinas.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessous pour les magasins Couleurs de Niigata.
La nuit va bientôt stopper notre élan, nous fonçons chez Miyatora.
Arrivé sur place je suis agréablement surpris, il y a encore pas mal de choix, les koïs sont dans une forme olympique, et les nisaïs sont beaux de très belle taille comme d'habitude.
Nous faisons une razzia dans les hi-utsuris.
Je sélectionne ceux-ci pour nos magasins partenaires.
Puis dans un autre bassin je sélectionne cette nouvelle boite.
Notre sélection progresse doucement mais surement, et il le faut, car nous sommes déjà à mi-chemin de ce hunting.
Il manque encore plusieurs variétés à notre tableau de chasse, mais le programme des visites d'éleveurs pour les jours à venir est bien rempli.
Je vous quitte sur ce dernier hi-utsuri, sélectionné ce soir dans les meilleurs nisaïs de la Miyatora koï-farm.
Une femelle de presque 50 cm, aux lignes très prometteuses, au pattern aguicheur et à la beauté incandescente !
Oups j'oubliais de vous dire, la maman de cette jeunette en rouge et noir mesure 93 cm...ça promet !
A demain.
Jour 6, dimanche 27 octobre.
Bonjour à tous.
Le koï-show d'Ojiya ouvre ses portes au public ce matin, et les éleveurs sont toujours autant occupés par l'organisation de cet évènement.
Nous avons toutefois réussi à placer plusieurs rendez-vous aujourd'hui, qui devraient largement remplir notre journée.
Mais tout d'abord, petit détour par le Nagaoka Nogyosaï koï-show, pour une courte séance photo, avant d'entamer réellement notre journée de chasse aux koïs.
Ci-dessous un kohaku .... idéal .... du breeder Nogami.
C'était un sérieux challenger à la plus haute marche du podium de ce koï-show.
Et voici pour terminer, le gagnant de ce koï-show, le Grand Champion, un showa au pattern original, de l'éleveur Isa.
Les qualités qui ont permis à ce showa de remporter le prix le plus envié de l'évènement sont nombreuses.
Le body élancé mais dégageant beaucoup de puissance, possède un shape parfait.
La peau d'une blancheur pure et sans aucune nuance parasite, ne trahit pas l'âge de ce koï qui parait bien plus jeune.
Le beni d'une fraicheur et d'une luminosité exemplaires, rend le contraste avec le sumi d'un noir absolu et brillant... spectaculaire.
Quand au pattern, même si cet aspect est plus subjectif, il ne trahit aucun défaut et s'offre même le luxe d'être atypique:
- les dans ( ou taches) de sumi sont bien regroupées et ne laissent echapper aucun sumi ou shimi farfelu
- le beni pattern est idéalement proportionné et agréablement disposé
- 85 cm !!! une taille impressionnante
- et pour finir, un symétrique et épais motoguro vient sérieusement réhausser la beauté de l'ensemble !
Félicitations à son "papa", Mitsunori-san, le propriétaire d' Isa koï farm.
...
Bon...le réveil sonne.... arrêtons quelques instant de rêver s'il vous plait.
Et filons dans la montagne compléter notre sélection automnale 2013.
Notre première visite est pour la Marusaka koï-farm.
Spécialiste des benikikokuryus, kikusuis, doitsu-gosankes, kujakus, sankes, kinki-utsuris, doitsu-kujakus et moindrement quelques autres variétés métalliques telles kin-showa, gin-shiro,yamatonishiki, etc.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessous.
Quelques kin-kikokuryus, une sous-variété kikokuryu assez rare.
Je complète ensuite ma boite avec deux doitsu-kohakus.
Puis nous sélectionnons des kinki-utsuris et des midorigoïs.
Je trie les kinkis ci-dessous.
Ils sont très jaune, et de bonne qualité. Je prends quelques midorigoïs pour les accompagner.
Notre sélection de nisaïs et sansaïs terminée, nous allons admirer les sujets de qualité supérieure dans une serre proche.
Un très joli doitsu kin-showa dans le premier bassin me fait bonne impression. Nous le pêchons pour l'inspecter.
Il est tout simplement spectaculaire !
Après discussions, hésitations, explications et négociation je décide le prendre.
Ce koï, très haut de gamme, participera peut être à certains koï-show sous la bannière Couleurs de Niigata.
Je suis très heureux de cet achat. Rare, qualitatif, original, une réelle pièce de collection doublée d'un vrai koï de show.
Je remercie plusieurs fois l'éleveur et Matcho qui m'ont permis d'acquérir cette petite merveille.
Pause déjeuner !
Et maintenant visite chez Chogoro koï farm, dirigée par Nabuoki Hiroï, l'homme qui ne mets aucune couleur à ses pinceaux pour produire de néanmoins magnifiques koïs: les purachinas.
Je sélectionne les nisaïs ci-dessous pour les magasins Couleurs de Niigata.
La nuit va bientôt stopper notre élan, nous fonçons chez Miyatora.
Arrivé sur place je suis agréablement surpris, il y a encore pas mal de choix, les koïs sont dans une forme olympique, et les nisaïs sont beaux de très belle taille comme d'habitude.
Nous faisons une razzia dans les hi-utsuris.
Je sélectionne ceux-ci pour nos magasins partenaires.
Puis dans un autre bassin je sélectionne cette nouvelle boite.
Notre sélection progresse doucement mais surement, et il le faut, car nous sommes déjà à mi-chemin de ce hunting.
Il manque encore plusieurs variétés à notre tableau de chasse, mais le programme des visites d'éleveurs pour les jours à venir est bien rempli.
Je vous quitte sur ce dernier hi-utsuri, sélectionné ce soir dans les meilleurs nisaïs de la Miyatora koï-farm.
Une femelle de presque 50 cm, aux lignes très prometteuses, au pattern aguicheur et à la beauté incandescente !
Oups j'oubliais de vous dire, la maman de cette jeunette en rouge et noir mesure 93 cm...ça promet !
A demain.
- christine
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Re: Couleurs de Niigata - En direct du japon - Automne2013
Tonysan, le doitsu kin kikokuru est à tomber, félicitations !
► http://www.forum-bassin.com/Accueil/For ... Bassin.pdf
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
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Couleurs de Niigata : Ooya koï farm, Izumiya koï farm, Marud
Couleurs de Niigata : En direct du Japon - Ooya koï farm, Izumiya koï farm, Marudo koï farm
Jour 7, lundi 28 octobre
Bonjour à tous.
Quelle journée ! Quelle fabuleuse journée !
Du soleil, une belle compagnie, de la bonne humeur et des koïs de rêve.
Figurez-vous que nous étions invités aujourd'hui à la pêche, que dis-je, LA pêche...
En effet Taro Kataoka nous a proposé il y a quelques jours, de venir lui donner un coup de pouce pour l'ikeage de l'étang dans lequel sont stockés une grande partie de ses oyagoïs, ou koïs reproducteurs.
C'est donc avec le plus grand plaisir que nous nous sommes retrouvés ce matin à la Ooya koï farm pour rejoindre l'équipe de pêche habituelle, avant de monter tout là-haut, par une petite route en lacet, sur les cimes, vidanger le plus grand et le plus important de tous les étangs de la famille Kataoka.
Nous patientons un peu en prenant un café, car l'étang n'est pas encore descendu à son niveau de pêche.
Puis nous montons "à l'étage" supérieur.
L'étang est très profond, plus de 4 m je pense, et se trouve tout à fait en tête de bassin versant.
La crête qui nous sépare du versant opposé n'est qu'à quelques dizaines de mètres au dessus de l'étang.
Nous patientons encore quelques instants, afin que le niveau de pêche soit atteint, puis l'ikeage commence.
Le fils cadet de la famille, Djobu Kataoka, arrive pour renforcer les rangs déjà composés de Taro-san, deux aides, Cédric de l'Oasis et moi même.
Je commence, tout comme David et Frédéric de Normandie Koï, ainsi que Cédric et Thomas de l'Oasis, à réaliser le privilège de notre situation.
La pression monte.
Ikimashoka !
Le déchargement terminé nous sommes pleinement satisfait.
Les trente cinq koïs empoissonnés ont été retrouvés, tous sont dans de bonnes conditions physiques, et aucun dommage n'est survenu durant la pêche et le déchargement.
Taro-san nous remercie, mais c'est nous qui lui sommes reconnaissant de nous avoir permis de vivre une telle expérience.
La pendule tourne, nous reprenons notre rythme habituel et filons aussitôt chez Izumiya koï farm pour voir quelques poissons et demander leur prix.
Le fils du propriétaire Mano-san, Ryu Mano nous accueille et nous renseigne.
David et Frédéric de Normandie Koï se renseignent sur différents kohakus, sankes, showas, quand à Cédric et Thomas de l'Oasis font pêcher un yamabuki de 5 étés et prennent quelques infos sur différents grands koïs.
Il y a beaucoup de sujets intéressants et très qualitatifs, et pas seulement dans les yamabukis ( qui sont la spécialité de la ferme ), les gosankes sont eux aussi bien représentés par de somptueux spécimens.
Vient l'heure du déjeuner, puis, visite de la Marudo koï farm.
Nous passons l'après-midi entière à éplucher tous les bassins de kawarimonos.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les deux karashigoïs ci-dessous.
De types différents, ils sont néanmoins très qualitatifs tous deux. Il s'agit de sansaïs.
L'Oasis et Normandie Koï quand à eux prendront de nombreux sujets de différents âges, et de différentes qualités, en fonction des opportunités présentes en stock, tel ce karashigoï ci-dessous pris par l'Oasis.
L'importante quantité de grands sujets achetés aujourd'hui chez Marudo, nous permet d'obtenir de bonnes remises, d'excellentes remises même, qui nous permettrons de proposer ces kawarimonos à des prix que nous n'avions encore jamais proposés jusqu'à présent.
Contactez nous, si vous le souhaitez, pour avoir plus d'infos sur ces jumbos, car le rapport qualité prix est vraiment exceptionnel.
Dix sept heures déjà, nous n'avons pas vu le temps passer.
Nous reviendrons probablement demain faire un saut, afin d'inspecter la serres des gosankes cette fois.
A demain.
Jour 7, lundi 28 octobre
Bonjour à tous.
Quelle journée ! Quelle fabuleuse journée !
Du soleil, une belle compagnie, de la bonne humeur et des koïs de rêve.
Figurez-vous que nous étions invités aujourd'hui à la pêche, que dis-je, LA pêche...
En effet Taro Kataoka nous a proposé il y a quelques jours, de venir lui donner un coup de pouce pour l'ikeage de l'étang dans lequel sont stockés une grande partie de ses oyagoïs, ou koïs reproducteurs.
C'est donc avec le plus grand plaisir que nous nous sommes retrouvés ce matin à la Ooya koï farm pour rejoindre l'équipe de pêche habituelle, avant de monter tout là-haut, par une petite route en lacet, sur les cimes, vidanger le plus grand et le plus important de tous les étangs de la famille Kataoka.
Nous patientons un peu en prenant un café, car l'étang n'est pas encore descendu à son niveau de pêche.
Puis nous montons "à l'étage" supérieur.
L'étang est très profond, plus de 4 m je pense, et se trouve tout à fait en tête de bassin versant.
La crête qui nous sépare du versant opposé n'est qu'à quelques dizaines de mètres au dessus de l'étang.
Nous patientons encore quelques instants, afin que le niveau de pêche soit atteint, puis l'ikeage commence.
Le fils cadet de la famille, Djobu Kataoka, arrive pour renforcer les rangs déjà composés de Taro-san, deux aides, Cédric de l'Oasis et moi même.
Je commence, tout comme David et Frédéric de Normandie Koï, ainsi que Cédric et Thomas de l'Oasis, à réaliser le privilège de notre situation.
La pression monte.
Ikimashoka !
Le déchargement terminé nous sommes pleinement satisfait.
Les trente cinq koïs empoissonnés ont été retrouvés, tous sont dans de bonnes conditions physiques, et aucun dommage n'est survenu durant la pêche et le déchargement.
Taro-san nous remercie, mais c'est nous qui lui sommes reconnaissant de nous avoir permis de vivre une telle expérience.
La pendule tourne, nous reprenons notre rythme habituel et filons aussitôt chez Izumiya koï farm pour voir quelques poissons et demander leur prix.
Le fils du propriétaire Mano-san, Ryu Mano nous accueille et nous renseigne.
David et Frédéric de Normandie Koï se renseignent sur différents kohakus, sankes, showas, quand à Cédric et Thomas de l'Oasis font pêcher un yamabuki de 5 étés et prennent quelques infos sur différents grands koïs.
Il y a beaucoup de sujets intéressants et très qualitatifs, et pas seulement dans les yamabukis ( qui sont la spécialité de la ferme ), les gosankes sont eux aussi bien représentés par de somptueux spécimens.
Vient l'heure du déjeuner, puis, visite de la Marudo koï farm.
Nous passons l'après-midi entière à éplucher tous les bassins de kawarimonos.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les deux karashigoïs ci-dessous.
De types différents, ils sont néanmoins très qualitatifs tous deux. Il s'agit de sansaïs.
L'Oasis et Normandie Koï quand à eux prendront de nombreux sujets de différents âges, et de différentes qualités, en fonction des opportunités présentes en stock, tel ce karashigoï ci-dessous pris par l'Oasis.
L'importante quantité de grands sujets achetés aujourd'hui chez Marudo, nous permet d'obtenir de bonnes remises, d'excellentes remises même, qui nous permettrons de proposer ces kawarimonos à des prix que nous n'avions encore jamais proposés jusqu'à présent.
Contactez nous, si vous le souhaitez, pour avoir plus d'infos sur ces jumbos, car le rapport qualité prix est vraiment exceptionnel.
Dix sept heures déjà, nous n'avons pas vu le temps passer.
Nous reviendrons probablement demain faire un saut, afin d'inspecter la serres des gosankes cette fois.
A demain.
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Couleurs de Niigata : Igarashi Seiki, Kaze, Suda koï farm, M
Couleurs de Niigata : En direct du japon - Igarashi Seiki, Kaze, Suda koï farm, Marudo, Sakazume, Taro Kataoka
Jour 8, mardi 29 octobre.
Bonjour à tous.
Nous venons de faire le compte, ce soir, du nombre de jours restants pour terminer notre sélection.
Et bien le résultat fait un peu peur ! Plus que 2 jours à arpenter les montagnes de Niigata, et une demi-journée chez Omosako koï farm près d'Hiroshima.
Autant dire que la pression monte.
Mais pour faire de bons achats, il faut:
Du temps pour visiter les nombreux éleveurs d'Ojiya et ses alentours.
Du temps pour choisir finement les meilleurs koïs possibles.
Du temps pour évaluer la pertinence des prix et négocier si besoin ensuite.
Nous avons donc attaqué cette journée de bonne heure avec l'objectif de visiter au moins 5 éleveurs, dont Igarashi Seiki, chez qui nous entamons cette journée.
Nous avions pris rendez-vous il y a quelques jours, pour avoir le premier choix sur un lot d'ochiba shigure qui a été pêché hier.
Igarashi Seiki élève principalement des benikikokuryus, des ochibas, des yamabukis, et toutes ces variétés sont produites à partir de ses propres lignées de sang.
Les poissons sont en super forme, et nous avons un large choix à notre disposition.
Je sélectionne pour nos magasins partenaires Couleurs de Niigata, ces 2 boites d'ochibas ci-dessous.
Ils affichent une très belle qualité de peau, et des patterns plutôt seyants.
Ils sont accompagnés de quelques chagoïs couleur caramel, possédant une jolie peau.
Puis je sélectionne ces nisaïs doitsus ci-dessous.
Doitsu kujaku et benikikokuryu.
Ma sélection de nisaïs, se termine avec ces koïs légèrement plus petits mais très jolis.
Peu de sansaïs sont disponibles dans les grands bassins, je remarque du coup rapidement le beni-kumonryu ci-dessous.
Après sa pêche, nous discutons prix avec Igarashi-fils, mais le budget est vraiment élevé...je vais réfléchir un jour ou deux.
Nous prenons une petite boisson, et reprenons la route, direction la ferme Kaze.
Nous voici chez Kaze.
Comme les nisaïs ne nous emballent pas trop, nous jetons un coup d'oeil dans la serre des sansaïs et yonsaïs.
Peu de koïs nous attirent, mais je vais tout de même sélectionner ces 4 nisaïs showas mâles de 50 cm environ, qui sont superbes, et pour lesquels nous avons pu négocier une belle remise.
Je suis très satisfait de cet achat, car le rapport qualité prix est vraiment excellent.
Ces koïs sont produits à partir de géniteurs Daïnichi et Sekiguchi, croisés avec la lignée de sang maison, celle de Kaze.
Sur le chemin de retour nous passons rendre visite à Suda koï farm pour y trouver, éventuellement, des kumonryus.
Mais presque plus rien en stock !
Kazutaka-san nous appelera à la prochaine pêche, pour que nous puissions venir aussitôt sélectionner quelques uns de ses kumonryus et irenagas ou koïs voilés.
La pause sandwich est une courte formalité, nous nous rendons maintenant chez Marudo pour sélectionner les gosankes que nous n'avions pas eu le temps de trier hier soir à cause de la nuit tombante.
Toute l'équipe est à l'affut... pourvu que ça vaille le coup.
Cédric.
Keiko-san.
Frédéric.
Même Thomas ! si si !
Les koïs pêchés, nous nous rendons mieux compte à quelle qualité nous avons à faire.
Nous négocions un prix pour une quantité, la négociation est dure, mais Hirasawa-san accepte de nous faire un super prix.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les 3 jumbos kohakus et les 3 jumbos sankes ci-après.
Keiko-san prend les photos habituelles des boxes.
Ces nisaïs mesurent tous autour de 50 cm.
Le reste de l'équipe Marudo, rentre de pêche avec un gros lot de sansaïs et yonsaïs, composé de yamabukis, chagoïs et karashigoïs.
Ces jumbos koïs, proviennent d'un grand étang, qui accueille durant la belle saison 500 sujets âgés de 3 et 4 étés.
Nous avons fait un rapide calcul, avec une moyenne de 6 kg par sujet, cela représente 3 tonnes de kawarimonos ! ! !
Nous assistons patiemment au déchargement, pour pouvoir être aux premières loges pour la sélection.
Le déchargement terminé, nous sélectionnons dans le bassin des kawarimonos les plus intéressants sujets, grâce à la précieuse aide de Matcho.
Je prend pour les magasins partenaires, le chagoï sansaï de presque 70 cm ci-dessous, au body hallucinant.
La qualité de peau est elle aussi remarquable, et la teinte vert olive très agréable.
Ce koï vient tout juste de sortir d'étang, et malgré ça, son fukurin est clair, brillant et super-clean.
Un magnifique koï, au potentiel de croissance énorme.
Nous retournons vers les montagnes et passons chez Sakazume en vitesse, pour y reprendre quelques nisaïs, car les yamabukis et koïs noirs achetés ici il y a quelques jours, sont déjà tous vendus.
Il faut refaire quelques emplettes.
Ainsi, les magasins Couleurs de Niigata, pourront tous offrir ce type de koïs dans quelques semaines.
Matsukawabake, shiro utsuri, karasugoï, yamabuki, sont les variétés représentées dans cette boite.
Il nous reste encore un peu de temps avant la nuit, nous rendons visite à Taro Kataoka qui a pêché des asagis hier après-midi.
Les trois frères Kataoka sont là. De gauche à droite, Taro l'ainé, Djobu le cadet et Masahito.
Nous sommes tous concentrés.
Je sélectionne les asagis ci-dessous. Nisaïs, mâles et femelles mélangés, mesurant 35 cm environ.
Nous profitons d'être là pour contrôler l'évolution des deux sankes laissés en azukari l'an passé ici.
Un par Normandie Koï et l'autre par l'Oasis.
Ils ont maintenant 3 étés.
Ils sont très beaux, mais ont peu profité...
Leur nourrissage a été difficile en fin de saison, de ce fait, ils ne font pas la taille qu'ils auraient pu faire.
Celui de l'Oasis ci-dessus, et celui de Normandie Koï ci-dessous.
Taro-san leur propose de les remettre gratuitement une année supplémentaire en azukari, pour rattraper un peu le manque à grossir de cette année.
Ils acceptent volontiers cette offre qui est vraiment correcte.
Nous les reverrons l'année prochaine.
Une visite chez l'éleveur Otsuka clôture sans grande satisfaction cette journée, car peu intéressant, et trop cher.
Demain la journée sera consacrée en grande partie au showa, car nous visiterons Sekiguchi et Takahashi koï farm.
A demain.
Jour 8, mardi 29 octobre.
Bonjour à tous.
Nous venons de faire le compte, ce soir, du nombre de jours restants pour terminer notre sélection.
Et bien le résultat fait un peu peur ! Plus que 2 jours à arpenter les montagnes de Niigata, et une demi-journée chez Omosako koï farm près d'Hiroshima.
Autant dire que la pression monte.
Mais pour faire de bons achats, il faut:
Du temps pour visiter les nombreux éleveurs d'Ojiya et ses alentours.
Du temps pour choisir finement les meilleurs koïs possibles.
Du temps pour évaluer la pertinence des prix et négocier si besoin ensuite.
Nous avons donc attaqué cette journée de bonne heure avec l'objectif de visiter au moins 5 éleveurs, dont Igarashi Seiki, chez qui nous entamons cette journée.
Nous avions pris rendez-vous il y a quelques jours, pour avoir le premier choix sur un lot d'ochiba shigure qui a été pêché hier.
Igarashi Seiki élève principalement des benikikokuryus, des ochibas, des yamabukis, et toutes ces variétés sont produites à partir de ses propres lignées de sang.
Les poissons sont en super forme, et nous avons un large choix à notre disposition.
Je sélectionne pour nos magasins partenaires Couleurs de Niigata, ces 2 boites d'ochibas ci-dessous.
Ils affichent une très belle qualité de peau, et des patterns plutôt seyants.
Ils sont accompagnés de quelques chagoïs couleur caramel, possédant une jolie peau.
Puis je sélectionne ces nisaïs doitsus ci-dessous.
Doitsu kujaku et benikikokuryu.
Ma sélection de nisaïs, se termine avec ces koïs légèrement plus petits mais très jolis.
Peu de sansaïs sont disponibles dans les grands bassins, je remarque du coup rapidement le beni-kumonryu ci-dessous.
Après sa pêche, nous discutons prix avec Igarashi-fils, mais le budget est vraiment élevé...je vais réfléchir un jour ou deux.
Nous prenons une petite boisson, et reprenons la route, direction la ferme Kaze.
Nous voici chez Kaze.
Comme les nisaïs ne nous emballent pas trop, nous jetons un coup d'oeil dans la serre des sansaïs et yonsaïs.
Peu de koïs nous attirent, mais je vais tout de même sélectionner ces 4 nisaïs showas mâles de 50 cm environ, qui sont superbes, et pour lesquels nous avons pu négocier une belle remise.
Je suis très satisfait de cet achat, car le rapport qualité prix est vraiment excellent.
Ces koïs sont produits à partir de géniteurs Daïnichi et Sekiguchi, croisés avec la lignée de sang maison, celle de Kaze.
Sur le chemin de retour nous passons rendre visite à Suda koï farm pour y trouver, éventuellement, des kumonryus.
Mais presque plus rien en stock !
Kazutaka-san nous appelera à la prochaine pêche, pour que nous puissions venir aussitôt sélectionner quelques uns de ses kumonryus et irenagas ou koïs voilés.
La pause sandwich est une courte formalité, nous nous rendons maintenant chez Marudo pour sélectionner les gosankes que nous n'avions pas eu le temps de trier hier soir à cause de la nuit tombante.
Toute l'équipe est à l'affut... pourvu que ça vaille le coup.
Cédric.
Keiko-san.
Frédéric.
Même Thomas ! si si !
Les koïs pêchés, nous nous rendons mieux compte à quelle qualité nous avons à faire.
Nous négocions un prix pour une quantité, la négociation est dure, mais Hirasawa-san accepte de nous faire un super prix.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les 3 jumbos kohakus et les 3 jumbos sankes ci-après.
Keiko-san prend les photos habituelles des boxes.
Ces nisaïs mesurent tous autour de 50 cm.
Le reste de l'équipe Marudo, rentre de pêche avec un gros lot de sansaïs et yonsaïs, composé de yamabukis, chagoïs et karashigoïs.
Ces jumbos koïs, proviennent d'un grand étang, qui accueille durant la belle saison 500 sujets âgés de 3 et 4 étés.
Nous avons fait un rapide calcul, avec une moyenne de 6 kg par sujet, cela représente 3 tonnes de kawarimonos ! ! !
Nous assistons patiemment au déchargement, pour pouvoir être aux premières loges pour la sélection.
Le déchargement terminé, nous sélectionnons dans le bassin des kawarimonos les plus intéressants sujets, grâce à la précieuse aide de Matcho.
Je prend pour les magasins partenaires, le chagoï sansaï de presque 70 cm ci-dessous, au body hallucinant.
La qualité de peau est elle aussi remarquable, et la teinte vert olive très agréable.
Ce koï vient tout juste de sortir d'étang, et malgré ça, son fukurin est clair, brillant et super-clean.
Un magnifique koï, au potentiel de croissance énorme.
Nous retournons vers les montagnes et passons chez Sakazume en vitesse, pour y reprendre quelques nisaïs, car les yamabukis et koïs noirs achetés ici il y a quelques jours, sont déjà tous vendus.
Il faut refaire quelques emplettes.
Ainsi, les magasins Couleurs de Niigata, pourront tous offrir ce type de koïs dans quelques semaines.
Matsukawabake, shiro utsuri, karasugoï, yamabuki, sont les variétés représentées dans cette boite.
Il nous reste encore un peu de temps avant la nuit, nous rendons visite à Taro Kataoka qui a pêché des asagis hier après-midi.
Les trois frères Kataoka sont là. De gauche à droite, Taro l'ainé, Djobu le cadet et Masahito.
Nous sommes tous concentrés.
Je sélectionne les asagis ci-dessous. Nisaïs, mâles et femelles mélangés, mesurant 35 cm environ.
Nous profitons d'être là pour contrôler l'évolution des deux sankes laissés en azukari l'an passé ici.
Un par Normandie Koï et l'autre par l'Oasis.
Ils ont maintenant 3 étés.
Ils sont très beaux, mais ont peu profité...
Leur nourrissage a été difficile en fin de saison, de ce fait, ils ne font pas la taille qu'ils auraient pu faire.
Celui de l'Oasis ci-dessus, et celui de Normandie Koï ci-dessous.
Taro-san leur propose de les remettre gratuitement une année supplémentaire en azukari, pour rattraper un peu le manque à grossir de cette année.
Ils acceptent volontiers cette offre qui est vraiment correcte.
Nous les reverrons l'année prochaine.
Une visite chez l'éleveur Otsuka clôture sans grande satisfaction cette journée, car peu intéressant, et trop cher.
Demain la journée sera consacrée en grande partie au showa, car nous visiterons Sekiguchi et Takahashi koï farm.
A demain.