Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
- Couleurs de Niigata
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Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Jour 01, lundi 7 mars.
Bonjour à tous.
Le printemps arrive, et avec lui les beaux jours, les températures clémentes, la reprise d'activité dans nos bassins, et, les prochaines arrivées de tosaïs dans nos magasins Couleurs de Niigata.
En attendant ce début de saison 2016, nous sommes de retour au Japon, pour un nouveau voyage de prospection.
Prospection à Niigata bien sûr chez nos éleveurs préférés habituels, mais pas que...
Ce printemps, nous partons en visite dans le "sud" afin d'y prendre la température chez certains breeders réputés.
Car si nous travaillions déjà avec certains d'entre eux, tels Omosako et Matsue, d'autres n'avaient encore jamais été programmés à nos plans de chasse.
Ce sera chose faite durant les prochains jours.
Après un voyage prolongé ( Paris->Pékin, Pékin->Dailan, Dailan->Hiroshima ) nous voici enfin arrivés dans la célèbre ville d'Hiroshima.
Tristement célèbre par son passé historique il est vrai, mais heureusement, célèbre aussi par les prestigieux breeders de nishikigoïs qui s'y sont installés.
David et Benoït de Normandie Koï sont du voyage...Et seront à l'affût !
Ils ont pris du renfort, avec Marc et Jean-Marc, 2 passionnés normands eux-aussi.
Après ce long voyage, l'arrivée à l'hôtel est un réel bonheur...
Nous nous sentons comme chez nous.
Je ne sais pas pourquoi... mais il y a quelque chose de "comme à la maison" c'est sûr !
Durant cette petite dizaine de jours, je sélectionnerai des tosaïs spéciaux : tateshitas, jumbos, femelles, mâles, prometteurs, rares, à potentiel, etc, pour tous les magasins Couleurs de Niigata dont vous retrouvez la liste en cliquant ICI.
N'hésitez pas à les contacter directement pour avoir toutes les infos, les disponibilités et les prix des sujets qui vous interpelleraient !
Demain mardi, nous entamerons ce hunting du Sud, par la visite de l'incontournable Omosako, grand spécialiste des ........ !
Alors, bienvenue à tous dans ce reportage en Direct du Japon,
et à demain pour les choses sérieuses.
Bonjour à tous.
Le printemps arrive, et avec lui les beaux jours, les températures clémentes, la reprise d'activité dans nos bassins, et, les prochaines arrivées de tosaïs dans nos magasins Couleurs de Niigata.
En attendant ce début de saison 2016, nous sommes de retour au Japon, pour un nouveau voyage de prospection.
Prospection à Niigata bien sûr chez nos éleveurs préférés habituels, mais pas que...
Ce printemps, nous partons en visite dans le "sud" afin d'y prendre la température chez certains breeders réputés.
Car si nous travaillions déjà avec certains d'entre eux, tels Omosako et Matsue, d'autres n'avaient encore jamais été programmés à nos plans de chasse.
Ce sera chose faite durant les prochains jours.
Après un voyage prolongé ( Paris->Pékin, Pékin->Dailan, Dailan->Hiroshima ) nous voici enfin arrivés dans la célèbre ville d'Hiroshima.
Tristement célèbre par son passé historique il est vrai, mais heureusement, célèbre aussi par les prestigieux breeders de nishikigoïs qui s'y sont installés.
David et Benoït de Normandie Koï sont du voyage...Et seront à l'affût !
Ils ont pris du renfort, avec Marc et Jean-Marc, 2 passionnés normands eux-aussi.
Après ce long voyage, l'arrivée à l'hôtel est un réel bonheur...
Nous nous sentons comme chez nous.
Je ne sais pas pourquoi... mais il y a quelque chose de "comme à la maison" c'est sûr !
Durant cette petite dizaine de jours, je sélectionnerai des tosaïs spéciaux : tateshitas, jumbos, femelles, mâles, prometteurs, rares, à potentiel, etc, pour tous les magasins Couleurs de Niigata dont vous retrouvez la liste en cliquant ICI.
N'hésitez pas à les contacter directement pour avoir toutes les infos, les disponibilités et les prix des sujets qui vous interpelleraient !
Demain mardi, nous entamerons ce hunting du Sud, par la visite de l'incontournable Omosako, grand spécialiste des ........ !
Alors, bienvenue à tous dans ce reportage en Direct du Japon,
et à demain pour les choses sérieuses.
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Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Jour 2, mardi 8 mars
Bonjour à tous.
Rendez-vous est pris ce matin chez Omosako pour y trouver, nous espérons, quelques... shiro-utsuris tosaïs.
8 h 30 nous quittons l'hôtel et filons vers Kure, la ville où se situe la ferme du breeder qui voit les koïs en noir et blanc.
Notre petit déj. pris à l'heure et dans la bonne humeur, nous filons vers Hiroshima.
Matcho nous a gâté cette fois-ci, avec ce magnifique véhicule, spacieux et arborant une couleur plutôt coquette !
45 minutes plus tard, nous arrivons chez le breeder
Takayoshi-san ( ci-dessous à droite ) dirige la ferme, assisté par son frère cadet Takahiro-san, tout aussi présent sur le site.
Eleveurs depuis 3 générations, les Omosako tiennent une place particulière dans le cœur des passionnés de nishikigoïs.
En effet, quand on recherche un shiro-utsuri, et que la concession sur la qualité n'est pas de mise, alors, on pense immédiatement à Omosako Koï Farm.
Et ce, grâce au travail des deux frères, mais à celui aussi de leur père Takashi-san, et de leur grand-père Ryuzo-san.
Takayoshi a préparé pour nous plusieurs lots de tosaïs spéciaux.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata, les 2 bowls ci-dessus et dessous.
Essentiellement femelles, ces tosaïs mesurant de 17 à 22 cm environ, sont de qualité exceptionnelle.
Nous examinons ensuite les autres lots.
Et avec l'aide de matcho ( précieuse il faut avouer quand il s'agit de sélectionner les tosaïs pour leur futur ) je sélectionne encore les 2 boites de ginrin-shiro-utsuris ci-dessous, mesurant de 16 à 20 cm.
Je termine enfin cette sélection -Omosako pour Couleurs de Niigata-, avec ces femelles tateshitas shiro-utsuris mesurant entre 17 et 24 cm.
De qualité encore supérieure, ces tosaïs possèdent un fort potentiel de bonification, et les voir évoluer sera un challenge savoureux !
Comme nous en avons terminé avec la sélection des tosaïs, nous "négocions" un petit coup d'œil dans la serre des tategoïs.
C'est l'occasion pour moi de questionner Takayoshi Omosako sur sa production annuelle.
Il élève chaque année, ( entre autre ) :
- 1000 tategoïs tosaïs shiros, qui deviendront nisaïs commercialisables, et
- 200 tategoïs nisaïs qui deviendront sansaïs, mais dont 150 pièces sont déjà des koïs de clients en azukari ici, soit seulement 50 sansaïs à vendre chaque année !
Ces quantités plutôt faibles expliquant en partie les prix réputés élevés de cette ferme.
Il est midi passé, nous quittons la ferme, mais accompagnés du boss pour aller déjeuner.
Tempuras, sashimis, sobas, et autres victuailles succulentes sont au menu,,,, menu offert par notre hôte de la matinée.
Gotchiso sama deshita
et
Sayonara Oomo-san !
Repus, nous reprenons la route vers Hiroshima centre.
Avec en cours de route, quelques surprises visuelles, qui nous rappellent que le Japon est le pays absolu du contraste,,, à mon sens !
L'élégance, l'austérité et l'efficacité, peuvent sans crier gare laisser place à l'excentricité, le kitch et le farfelue.
Nous consacrerons l'après-midi à un peu de tourisme dans Hiroshima, puisque le prochain éleveur visitable n'est pas à porté raisonnable de voiture.
Logiquement, notre première visite est dédiée au parc mémorial de la Paix d'Hiroshima.
Une visite pleine d'émotion pour nous, mais aussi pour Matcho qui le visitait pour la première fois, et qui malgré tout, a été un guide parfait.
Réalisés par compilations ( plus ou moins artistiques ) de 1 000 pièces très précisément, ces petits origamis en forme de signe, sont apportés ici par des personnes qui souhaitent que leur prière soit exhaussée.
Après cette visite émouvante, direction le Château de Hiroshima, dans lequel se trouve un musée dédié à l'histoire et à la culture des samuraïs.
A pied pour nous !
Mais pas sans prendre quelques forces !
ça sera parfum "fleurs de cerisiers" pour moi !
Et des forces il nous en faudra, car l'ascension jusqu'en haut du château sera harassante !
Harassante, mais très intéressante !
Malheureusement les photos étaient interdites dans quasiment tout le château.
Désolé.
Mais,
mais,
nous avons tout de même rencontré quelques terrifiants samuraïs dont voici les photos.
Sur ces images empreintes de culture, d'authenticité et de d'histoire, je vous souhaite une belle soirée et vous donne rendez-vous demain pour la suite...
Sayonara.
Bonjour à tous.
Rendez-vous est pris ce matin chez Omosako pour y trouver, nous espérons, quelques... shiro-utsuris tosaïs.
8 h 30 nous quittons l'hôtel et filons vers Kure, la ville où se situe la ferme du breeder qui voit les koïs en noir et blanc.
Notre petit déj. pris à l'heure et dans la bonne humeur, nous filons vers Hiroshima.
Matcho nous a gâté cette fois-ci, avec ce magnifique véhicule, spacieux et arborant une couleur plutôt coquette !
45 minutes plus tard, nous arrivons chez le breeder
Takayoshi-san ( ci-dessous à droite ) dirige la ferme, assisté par son frère cadet Takahiro-san, tout aussi présent sur le site.
Eleveurs depuis 3 générations, les Omosako tiennent une place particulière dans le cœur des passionnés de nishikigoïs.
En effet, quand on recherche un shiro-utsuri, et que la concession sur la qualité n'est pas de mise, alors, on pense immédiatement à Omosako Koï Farm.
Et ce, grâce au travail des deux frères, mais à celui aussi de leur père Takashi-san, et de leur grand-père Ryuzo-san.
Takayoshi a préparé pour nous plusieurs lots de tosaïs spéciaux.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata, les 2 bowls ci-dessus et dessous.
Essentiellement femelles, ces tosaïs mesurant de 17 à 22 cm environ, sont de qualité exceptionnelle.
Nous examinons ensuite les autres lots.
Et avec l'aide de matcho ( précieuse il faut avouer quand il s'agit de sélectionner les tosaïs pour leur futur ) je sélectionne encore les 2 boites de ginrin-shiro-utsuris ci-dessous, mesurant de 16 à 20 cm.
Je termine enfin cette sélection -Omosako pour Couleurs de Niigata-, avec ces femelles tateshitas shiro-utsuris mesurant entre 17 et 24 cm.
De qualité encore supérieure, ces tosaïs possèdent un fort potentiel de bonification, et les voir évoluer sera un challenge savoureux !
Comme nous en avons terminé avec la sélection des tosaïs, nous "négocions" un petit coup d'œil dans la serre des tategoïs.
C'est l'occasion pour moi de questionner Takayoshi Omosako sur sa production annuelle.
Il élève chaque année, ( entre autre ) :
- 1000 tategoïs tosaïs shiros, qui deviendront nisaïs commercialisables, et
- 200 tategoïs nisaïs qui deviendront sansaïs, mais dont 150 pièces sont déjà des koïs de clients en azukari ici, soit seulement 50 sansaïs à vendre chaque année !
Ces quantités plutôt faibles expliquant en partie les prix réputés élevés de cette ferme.
Il est midi passé, nous quittons la ferme, mais accompagnés du boss pour aller déjeuner.
Tempuras, sashimis, sobas, et autres victuailles succulentes sont au menu,,,, menu offert par notre hôte de la matinée.
Gotchiso sama deshita
et
Sayonara Oomo-san !
Repus, nous reprenons la route vers Hiroshima centre.
Avec en cours de route, quelques surprises visuelles, qui nous rappellent que le Japon est le pays absolu du contraste,,, à mon sens !
L'élégance, l'austérité et l'efficacité, peuvent sans crier gare laisser place à l'excentricité, le kitch et le farfelue.
Nous consacrerons l'après-midi à un peu de tourisme dans Hiroshima, puisque le prochain éleveur visitable n'est pas à porté raisonnable de voiture.
Logiquement, notre première visite est dédiée au parc mémorial de la Paix d'Hiroshima.
Une visite pleine d'émotion pour nous, mais aussi pour Matcho qui le visitait pour la première fois, et qui malgré tout, a été un guide parfait.
Réalisés par compilations ( plus ou moins artistiques ) de 1 000 pièces très précisément, ces petits origamis en forme de signe, sont apportés ici par des personnes qui souhaitent que leur prière soit exhaussée.
Après cette visite émouvante, direction le Château de Hiroshima, dans lequel se trouve un musée dédié à l'histoire et à la culture des samuraïs.
A pied pour nous !
Mais pas sans prendre quelques forces !
ça sera parfum "fleurs de cerisiers" pour moi !
Et des forces il nous en faudra, car l'ascension jusqu'en haut du château sera harassante !
Harassante, mais très intéressante !
Malheureusement les photos étaient interdites dans quasiment tout le château.
Désolé.
Mais,
mais,
nous avons tout de même rencontré quelques terrifiants samuraïs dont voici les photos.
Sur ces images empreintes de culture, d'authenticité et de d'histoire, je vous souhaite une belle soirée et vous donne rendez-vous demain pour la suite...
Sayonara.
- christine
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Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Merci pour ces photos.
Tony, désolée d'être aussi discourtoise, mais on dirait un oeuf à la coque !!
Tony, désolée d'être aussi discourtoise, mais on dirait un oeuf à la coque !!
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
► http://www.forum-bassin.com/Accueil/For ... Bassin.pdf
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
Bassin bâché de 120m3 commencé en 2011, filtration maison. Membre du FCKC ....
Les bétises des uns, font l'enseignement des autres...
- Couleurs de Niigata
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Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Jour 3, mercredi 9 mars.
Bonjour à tous.
Pluie et brume nous accompagneront aujourd'hui, pour cette deuxième journée à Hiroshima
Enfin quand je dis Hiroshima, c'est approximatif, puisque le breeder que nous visiterons aujourd'hui se trouve à 1 h 45 à l'Est d'Hiroshima.
Et ce breeder, c'est la célèbre Momotaro Koï Farm.
Cette ferme de taille considérable, puisqu'elle doit être dans le top 5 des plus importants breeders du Japon, observe une belle progression en terme d'image et de qualité de sa production depuis une petite dizaine d'année, même si elle a toujours été très cotée.
Mais elle est tout particulièrement sur le devant de la scène depuis 3 ans, grâce aux nombreux prix prestigieux remportés lors des éditions annuelles du All Japan Koï Show, dont le prix ultime de Grand Champion décroché début 2014 avec le gigantesque showa Lion Queen.
Donc comme je le disais plus haut, 1 h 45 de route nous sont nécessaires pour y arriver.
Avec la petite pause qui va bien sur une aire d'autoroute...
Une petite faim, ou un petit café ??? Il y a du choix !
Benoît tranchera pour nous, et optera pour une valeur sûre, ou presque, des mini-kit-kats, parfum agrumes...
N'en déplaise aux puristes, c'était très bon !
Nous arrivons enfin chez Momotaro, dont la ferme se trouve dans une jolie vallée parcourue d'une très belle rivière.
Un bel endroit.
Première impression: la taille de cette ferme est stupéfiante.
Elle est entourée de dizaines de mud-ponds creusés aux abords immédiat des nombreuses green-houses.
Chez Momotaro, pas de mud-ponds par dizaines ou centaines dans les montagnes comme chez d'autres éleveurs, non ! Ici, presque tous les koïs âgés de plus d'un été sont élevés uniquement dans les serres, et les tosaïs eux dans les étangs avoisinants la ferme.
Alors pour se déplacer dans ce "vaste domaine", plusieurs options :
- la voiturette
ou
- à pied !
Mais avec des chaussures stylées si possible, histoire d'être raccord avec l'offre haut de gamme Momotaro.
Nous visitons plusieurs serres, afin d'appréhender l'étendue du site et le stock impressionnant.
Ce petit tour terminé, nous arrêtons notre choix sur quelques bassins.
Le premier contient des ginrins benigoïs de 25 à 28 cm, superbes.
Belle taille, et potentiel de croissance élevé ( TM kohaku blood Line ).
Ginrin scintillant et régulier.
Beni orangé couleur lave.
Et très belle peau.
C'est une nouveauté de la ferme.
Afin de négocier une belle ristourne, nous décidons de prendre tous les sujets qui restent dans ce bassin.
Ces kawarimons seront donc dispos dans certains magasins Couleurs de Niigata vers la fin mai.
Puis nous pêchons et sélectionnons quelques gosankes haut de gamme dans un autre bassin.
Du côté des normands, Marc, choisit ce terrible jumbo tosaï kohaku de 42 cm.
Je riposte avec cet autre jumbo tosaï, mais showa cette fois-ci.
Un mâle très prometteur de 32 cm, qui trouvera j'espère, un magasin Couleurs de Niigata pour l'héberger quelques jours, jusqu'à ce que vous veniez le chercher !
Bon bassin et bonnes conditions feront de ce poisson un splendide showa.
Une petite photo souvenir avec le Sacho, et nous faisons la pause de midi, même s'il est 13 h passées.
Le boss nous invite à manger une lamen-soup dans un des restaurants de la famille... car la famille Momotaro possède différentes affaires et commerces dans le secteur !
Ravigotés par cette bonne soupe et quelques gyozas, nous reprenons le cours de la sélection, mais dans la serre des nisaïs cette fois-ci.
Et l'attaque est plutôt brutale car les nisaïs mâles que nous pêchons alors, mesurent, accrochez-vous bien, entre 57 et,,, ( roulement de tambours ),,, 67 cm !!!!
Autant dire que le gîte et le couvert pour les koïs, sont de toute première classe ici !
Un nouveau trophée pour la Normandie, mais c'est Jean-Marc qui a craqué cette fois-ci avec ce magnifique sanke de 57 cm.
La sélection terminée, nous prenons encore le temps de visiter dans une autre serre, le célèbre bassin d'une capacité de ... ( re roulement de tambours )... 2 000 m3 !
Un truc de fou.
"Bein oui hein !" Quand on élève des jumbos en intérieur, il faut de la place, surtout pour les plus grands sujets.
Et la filtration est du même accabit:
- filtres à chambre tout autour du bassin, plus de 100 mètres linéaires
- et les indétrônables bakki-showers Momotaro.
Impressionnés, et ravis, nous quittons enfin cette grande ferme. Grande, dans les deux sens du terme.
La journée fut très intéressante, même si nous aurions aimé trouver plus de poissons à des prix plus accessibles.
Sur ces photos, je vous souhaite une bonne fin de journée, et vous dis à demain.
Mata ashita.
Bonjour à tous.
Pluie et brume nous accompagneront aujourd'hui, pour cette deuxième journée à Hiroshima
Enfin quand je dis Hiroshima, c'est approximatif, puisque le breeder que nous visiterons aujourd'hui se trouve à 1 h 45 à l'Est d'Hiroshima.
Et ce breeder, c'est la célèbre Momotaro Koï Farm.
Cette ferme de taille considérable, puisqu'elle doit être dans le top 5 des plus importants breeders du Japon, observe une belle progression en terme d'image et de qualité de sa production depuis une petite dizaine d'année, même si elle a toujours été très cotée.
Mais elle est tout particulièrement sur le devant de la scène depuis 3 ans, grâce aux nombreux prix prestigieux remportés lors des éditions annuelles du All Japan Koï Show, dont le prix ultime de Grand Champion décroché début 2014 avec le gigantesque showa Lion Queen.
Donc comme je le disais plus haut, 1 h 45 de route nous sont nécessaires pour y arriver.
Avec la petite pause qui va bien sur une aire d'autoroute...
Une petite faim, ou un petit café ??? Il y a du choix !
Benoît tranchera pour nous, et optera pour une valeur sûre, ou presque, des mini-kit-kats, parfum agrumes...
N'en déplaise aux puristes, c'était très bon !
Nous arrivons enfin chez Momotaro, dont la ferme se trouve dans une jolie vallée parcourue d'une très belle rivière.
Un bel endroit.
Première impression: la taille de cette ferme est stupéfiante.
Elle est entourée de dizaines de mud-ponds creusés aux abords immédiat des nombreuses green-houses.
Chez Momotaro, pas de mud-ponds par dizaines ou centaines dans les montagnes comme chez d'autres éleveurs, non ! Ici, presque tous les koïs âgés de plus d'un été sont élevés uniquement dans les serres, et les tosaïs eux dans les étangs avoisinants la ferme.
Alors pour se déplacer dans ce "vaste domaine", plusieurs options :
- la voiturette
ou
- à pied !
Mais avec des chaussures stylées si possible, histoire d'être raccord avec l'offre haut de gamme Momotaro.
Nous visitons plusieurs serres, afin d'appréhender l'étendue du site et le stock impressionnant.
Ce petit tour terminé, nous arrêtons notre choix sur quelques bassins.
Le premier contient des ginrins benigoïs de 25 à 28 cm, superbes.
Belle taille, et potentiel de croissance élevé ( TM kohaku blood Line ).
Ginrin scintillant et régulier.
Beni orangé couleur lave.
Et très belle peau.
C'est une nouveauté de la ferme.
Afin de négocier une belle ristourne, nous décidons de prendre tous les sujets qui restent dans ce bassin.
Ces kawarimons seront donc dispos dans certains magasins Couleurs de Niigata vers la fin mai.
Puis nous pêchons et sélectionnons quelques gosankes haut de gamme dans un autre bassin.
Du côté des normands, Marc, choisit ce terrible jumbo tosaï kohaku de 42 cm.
Je riposte avec cet autre jumbo tosaï, mais showa cette fois-ci.
Un mâle très prometteur de 32 cm, qui trouvera j'espère, un magasin Couleurs de Niigata pour l'héberger quelques jours, jusqu'à ce que vous veniez le chercher !
Bon bassin et bonnes conditions feront de ce poisson un splendide showa.
Une petite photo souvenir avec le Sacho, et nous faisons la pause de midi, même s'il est 13 h passées.
Le boss nous invite à manger une lamen-soup dans un des restaurants de la famille... car la famille Momotaro possède différentes affaires et commerces dans le secteur !
Ravigotés par cette bonne soupe et quelques gyozas, nous reprenons le cours de la sélection, mais dans la serre des nisaïs cette fois-ci.
Et l'attaque est plutôt brutale car les nisaïs mâles que nous pêchons alors, mesurent, accrochez-vous bien, entre 57 et,,, ( roulement de tambours ),,, 67 cm !!!!
Autant dire que le gîte et le couvert pour les koïs, sont de toute première classe ici !
Un nouveau trophée pour la Normandie, mais c'est Jean-Marc qui a craqué cette fois-ci avec ce magnifique sanke de 57 cm.
La sélection terminée, nous prenons encore le temps de visiter dans une autre serre, le célèbre bassin d'une capacité de ... ( re roulement de tambours )... 2 000 m3 !
Un truc de fou.
"Bein oui hein !" Quand on élève des jumbos en intérieur, il faut de la place, surtout pour les plus grands sujets.
Et la filtration est du même accabit:
- filtres à chambre tout autour du bassin, plus de 100 mètres linéaires
- et les indétrônables bakki-showers Momotaro.
Impressionnés, et ravis, nous quittons enfin cette grande ferme. Grande, dans les deux sens du terme.
La journée fut très intéressante, même si nous aurions aimé trouver plus de poissons à des prix plus accessibles.
Sur ces photos, je vous souhaite une bonne fin de journée, et vous dis à demain.
Mata ashita.
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- Localisation : Rumigny 80680
Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Trés beau reportage,on ne s'en lasse pas,j'adore le jumbo kohaku de 42 cm bien plus que le showa.
Oui Christine ,Tony est quelque peu bizarre,je m'en méfierai au coin d'une rue
Oui Christine ,Tony est quelque peu bizarre,je m'en méfierai au coin d'une rue
Ecrire sans amour c'est trahir son talent Membre du FCKC et du FKS
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- Localisation : Rumigny 80680
Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
On peut aussi voir le reportage de NK sur leur site
Ecrire sans amour c'est trahir son talent Membre du FCKC et du FKS
- steph46
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Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Jour 4, jeudi 10 mars.
Bonjour à tous.
Petite journée de transition aujourd'hui, avec, 2 visites peu fructueuses + un trajet vers une nouvelle destination plus à l'Ouest.
Au programme :
Sakaï Fish Farm "la renomée", et Konishi Koï Farm "la célèbre".
Puis Shinkanzen vers Fukuoka.
Après 20 minutes de route depuis notre hôtel, nous arrivons chez Sakaï Fish Farm.
Comme nous avons pris rendez-vous bien en amont, un membre du staff est là pour nous guider à travers la très vaste ferme.
Mais l'accueil protocolaire, sans chaleur, nous refroidit un peu.
Aucun poisson à vendre, nous annonce notre hôte d'accueil, celà nous refroidit pour de bon.
Du coup, je n'ais plus trop envie de faire des photos...
Nous quittons la ferme un peu déçus, mais tout de même impressionnés par le gigantisme de la strcuture, que je vais désormais avoir du mal à qualifier de breeder...
Le terme pisciculture me semblant plus adapté.
Midi, nous sommes de retour à Hiroshima pour le déjeuner.
Enfin un moment agréable !
Un moment de partage, emprunt de saveurs japonaises, durant lequel Matcho nous sert de chef cuistot.
Une fois que nous avons écrasé les graines de sésames grillés, à l'aide de nos pilons,,,
nous ajoutons de la sauce maison pour réaliser une belle liaison,
ce qui donne une sauce parfumée à souhait, dans laquelle,
Nous allons pouvoir saucer nos fritures assortis.
Porc, légumes, asperges, crevettes et huitres, en croquettes, deviennent alors un régal, agrémentés de cette sauce.
Cette savoureuse pause terminée, nous profitons de l'après-midi pour visiter la célèbre Konishi Koï farm, située dans Hiroshima.
Après la visite du magasin, et la photo traditionnelle prise devant les bassins du shop, Konishi-san nous fait visiter les serres de stockage de la ferme.
Les vastes bassins regorgent de beaux koïs, mais rien de vraiment exceptionnel...hormis quelques karashigoïs et doitsu-karashigoïs monstrueux.
Des karashigoïs énormes et de top qualité.
Pour ces très grands kawarimonos mesurant plus d'un mètre, Konishi-san, reste le maitre en la matière il faut avouer.
D'un accueil chaleureux au possible, le boss nous aura vraiment gâté en nous consacrant une belle partie de l'après-midi, même si nous ne sommes pas client chez lui.
Et puis, c'est le départ pour Fukuoka, avec le Shinkanzen.
Mais pas sans avoir acheter un petit souvenir.
Nous emportons des "Maple Momiji Financier", la spécialité d'Hiroshima.
Un petit gâteau, façon financier, réalisé avec du sirop d'érable.
Ce soir nous sommes bien arrivés à Fukuoka, une mégalopole située à l'extrême sud-ouest du Japon, sur l'ile de Kyushu ( troisième plus grande ile du Japon après Honshu et Okaïdo ).
Demain nous avons à nouveau rendez-vous avec un breeder connu du Sud...... surprise !
A demain.
Bonjour à tous.
Petite journée de transition aujourd'hui, avec, 2 visites peu fructueuses + un trajet vers une nouvelle destination plus à l'Ouest.
Au programme :
Sakaï Fish Farm "la renomée", et Konishi Koï Farm "la célèbre".
Puis Shinkanzen vers Fukuoka.
Après 20 minutes de route depuis notre hôtel, nous arrivons chez Sakaï Fish Farm.
Comme nous avons pris rendez-vous bien en amont, un membre du staff est là pour nous guider à travers la très vaste ferme.
Mais l'accueil protocolaire, sans chaleur, nous refroidit un peu.
Aucun poisson à vendre, nous annonce notre hôte d'accueil, celà nous refroidit pour de bon.
Du coup, je n'ais plus trop envie de faire des photos...
Nous quittons la ferme un peu déçus, mais tout de même impressionnés par le gigantisme de la strcuture, que je vais désormais avoir du mal à qualifier de breeder...
Le terme pisciculture me semblant plus adapté.
Midi, nous sommes de retour à Hiroshima pour le déjeuner.
Enfin un moment agréable !
Un moment de partage, emprunt de saveurs japonaises, durant lequel Matcho nous sert de chef cuistot.
Une fois que nous avons écrasé les graines de sésames grillés, à l'aide de nos pilons,,,
nous ajoutons de la sauce maison pour réaliser une belle liaison,
ce qui donne une sauce parfumée à souhait, dans laquelle,
Nous allons pouvoir saucer nos fritures assortis.
Porc, légumes, asperges, crevettes et huitres, en croquettes, deviennent alors un régal, agrémentés de cette sauce.
Cette savoureuse pause terminée, nous profitons de l'après-midi pour visiter la célèbre Konishi Koï farm, située dans Hiroshima.
Après la visite du magasin, et la photo traditionnelle prise devant les bassins du shop, Konishi-san nous fait visiter les serres de stockage de la ferme.
Les vastes bassins regorgent de beaux koïs, mais rien de vraiment exceptionnel...hormis quelques karashigoïs et doitsu-karashigoïs monstrueux.
Des karashigoïs énormes et de top qualité.
Pour ces très grands kawarimonos mesurant plus d'un mètre, Konishi-san, reste le maitre en la matière il faut avouer.
D'un accueil chaleureux au possible, le boss nous aura vraiment gâté en nous consacrant une belle partie de l'après-midi, même si nous ne sommes pas client chez lui.
Et puis, c'est le départ pour Fukuoka, avec le Shinkanzen.
Mais pas sans avoir acheter un petit souvenir.
Nous emportons des "Maple Momiji Financier", la spécialité d'Hiroshima.
Un petit gâteau, façon financier, réalisé avec du sirop d'érable.
Ce soir nous sommes bien arrivés à Fukuoka, une mégalopole située à l'extrême sud-ouest du Japon, sur l'ile de Kyushu ( troisième plus grande ile du Japon après Honshu et Okaïdo ).
Demain nous avons à nouveau rendez-vous avec un breeder connu du Sud...... surprise !
A demain.
- Couleurs de Niigata
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Re: Couleurs de Niigata, Tosaïs spéciaux 2016, le reportage
Jour 5, vendredi 11 mars.
Bonjour à tous.
Notre quatrième et dernière journée dans le Sud s'achève sur une belle et fructueuse journée de chasse aux koïs.
En étape à Fukuoka pour la nuit, nous nous sommes rendus ce matin à Kurume, toujours sur l'ile de Kyushu, pour visiter l'Ogata Koï Farm, un breeder de taille importante, réputé pour produire de nombreuses variétés à des prix attractifs.
Mais avant ça, voici quelques images de la veille...
Soirée tranquille, passée dans un restaurant typique qui propose des spécialités régionales,où nous nous sommes régalés.
Matcho s'est, une nouvelle fois, bien occupé de nous !
Mais revenons à cette nouvelle journée.
Après un long trajet en taxi, nous arrivons sur site.
La taille de la ferme est considérable comme je l'imaginais.
Les locaux sont modernes, propres, et fonctionnels.
C'est du sérieux !
Ogata-san nous accueille aussitôt avec un large sourrire, et après avoir échangé les politesses d'usages, nous partons avec lui faire le tour du propriétaire.
Les poissons que nous propose le boss sont intéressants.
Il y a différents niveaux de qualité, et donc de budget.
Nous avons pas mal de choix.
Puis c'est la pêche et la sélection.
Nous attaquons dans le bassin des tosaïs les plus haut de gamme.
Pêche intégrale du bassin.
Ce bassin abrite des jumbos tosaïs mesurant de 30 à presque 40 cm.
Kohakus en majorité, mais aussi showas, chagoïs et goshikis composent ce lot de très belle qualité.
Malgré la qualité moyenne assez élevée, nous serons très sélectif et ne prendrons que la crème de ces poissons.
Nous sélectionnerons avec Matcho et Normandie Koï, un peu plus de 70 sujets, soit environ le quart de ce bassin.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les 10 jumbos kohakus ci-dessous.
Tosaïs kohakus qui seront proposés à un excellent prix. ( 2 photos pour le même lot )
Puis encore ceux-ci.
Cette première sélection nous emmène jusqu'à midi.
Le patron n'est pas là, mais il a tout de même prévu pour nous un pic-nic gastronomique, avec ce joli bento. Excellent !
Puis la sélection reprend son cours.
Nous passons au bassin suivant, qui abrite des tosaïs d'une taille juste inférieure au premier lot.
Ils mesurent de 25 à presque 30 cm, autant dire une très belle taille pour des poissons de 10 mois.
Dans ce bassin-ci, la sélection sera plus quantitative, car la qualité moyenne le permet vraiment, et nous décidons de tenter un bon volume afin de renégocier le prix au final.
Nous sélectionnons 14 boites de 16 sujets soit plus de 220 sujets que nous nous partageons avec Matcho.
Ce qui représente environ la moitié du bassin.
Je conserve une dizaine de boites pour les magasins Couleurs de Niigata, dont 4 pour David et Benoit qui rejoindront leur magasin Normandie Koï.
Les autres 100 pièces rejoindront nos points de ventes dans le courant du mois de mai.
Voici ci-dessous quelques photos absolument représentatives de la qualité et de la variété du lot que nous avons sélectionné, mais il ne s'agit que d'un échantillonage.
Ce fut une belle sélection, stricte et qualitative, mais la quantité totale finale importante, nous a permit d'obtenir une remise supplémentaire de 15 % sur le prix initial déjà attractif.
Autant dire que ce sera une offre très intéressante, puisque ces tosaïs de 25 cm à 30 cm seront proposés en exclusivité dans nos magasins ( de métropole ) à 100 euros environ.
Dernier achat de la journée chez Ogata, ces tosaïs shusuis ( Mano Blood Line ) de 18 - 20 cm, qui seront eux aussi présentés vers la fin mai dans nos magasins.
Nous sommes très très satisfait de cette journée et de ce premier contact avec la ferme Ogata, aussi bien par la qualité et la taille des tosaïs que nous y avons trouvé, que par les prix auxquels nous avons pu les négocier.
Un respectueux au revoir à notre hôte de la journée, et nous sautons dans le taxi pour la gare Shinkazen de Kurume.
Le Shinkazen Sakura, nous emmènera jusqu'à Osaka en 3 heures.
Puis un nouveau Shinkazen nous emmènera d'Osaka à Kyoto en 15 minutes.
Kyoto, où nous resterons 24 heures, en mode "pause", avant de partir pour Niigata.
Donc pas de reportage demain. GOMEN NASAÏ.
A dimanche, pour la suite de ce reportage, du côté d'Ojiya !
Bonjour à tous.
Notre quatrième et dernière journée dans le Sud s'achève sur une belle et fructueuse journée de chasse aux koïs.
En étape à Fukuoka pour la nuit, nous nous sommes rendus ce matin à Kurume, toujours sur l'ile de Kyushu, pour visiter l'Ogata Koï Farm, un breeder de taille importante, réputé pour produire de nombreuses variétés à des prix attractifs.
Mais avant ça, voici quelques images de la veille...
Soirée tranquille, passée dans un restaurant typique qui propose des spécialités régionales,où nous nous sommes régalés.
Matcho s'est, une nouvelle fois, bien occupé de nous !
Mais revenons à cette nouvelle journée.
Après un long trajet en taxi, nous arrivons sur site.
La taille de la ferme est considérable comme je l'imaginais.
Les locaux sont modernes, propres, et fonctionnels.
C'est du sérieux !
Ogata-san nous accueille aussitôt avec un large sourrire, et après avoir échangé les politesses d'usages, nous partons avec lui faire le tour du propriétaire.
Les poissons que nous propose le boss sont intéressants.
Il y a différents niveaux de qualité, et donc de budget.
Nous avons pas mal de choix.
Puis c'est la pêche et la sélection.
Nous attaquons dans le bassin des tosaïs les plus haut de gamme.
Pêche intégrale du bassin.
Ce bassin abrite des jumbos tosaïs mesurant de 30 à presque 40 cm.
Kohakus en majorité, mais aussi showas, chagoïs et goshikis composent ce lot de très belle qualité.
Malgré la qualité moyenne assez élevée, nous serons très sélectif et ne prendrons que la crème de ces poissons.
Nous sélectionnerons avec Matcho et Normandie Koï, un peu plus de 70 sujets, soit environ le quart de ce bassin.
Je sélectionne pour les magasins Couleurs de Niigata les 10 jumbos kohakus ci-dessous.
Tosaïs kohakus qui seront proposés à un excellent prix. ( 2 photos pour le même lot )
Puis encore ceux-ci.
Cette première sélection nous emmène jusqu'à midi.
Le patron n'est pas là, mais il a tout de même prévu pour nous un pic-nic gastronomique, avec ce joli bento. Excellent !
Puis la sélection reprend son cours.
Nous passons au bassin suivant, qui abrite des tosaïs d'une taille juste inférieure au premier lot.
Ils mesurent de 25 à presque 30 cm, autant dire une très belle taille pour des poissons de 10 mois.
Dans ce bassin-ci, la sélection sera plus quantitative, car la qualité moyenne le permet vraiment, et nous décidons de tenter un bon volume afin de renégocier le prix au final.
Nous sélectionnons 14 boites de 16 sujets soit plus de 220 sujets que nous nous partageons avec Matcho.
Ce qui représente environ la moitié du bassin.
Je conserve une dizaine de boites pour les magasins Couleurs de Niigata, dont 4 pour David et Benoit qui rejoindront leur magasin Normandie Koï.
Les autres 100 pièces rejoindront nos points de ventes dans le courant du mois de mai.
Voici ci-dessous quelques photos absolument représentatives de la qualité et de la variété du lot que nous avons sélectionné, mais il ne s'agit que d'un échantillonage.
Ce fut une belle sélection, stricte et qualitative, mais la quantité totale finale importante, nous a permit d'obtenir une remise supplémentaire de 15 % sur le prix initial déjà attractif.
Autant dire que ce sera une offre très intéressante, puisque ces tosaïs de 25 cm à 30 cm seront proposés en exclusivité dans nos magasins ( de métropole ) à 100 euros environ.
Dernier achat de la journée chez Ogata, ces tosaïs shusuis ( Mano Blood Line ) de 18 - 20 cm, qui seront eux aussi présentés vers la fin mai dans nos magasins.
Nous sommes très très satisfait de cette journée et de ce premier contact avec la ferme Ogata, aussi bien par la qualité et la taille des tosaïs que nous y avons trouvé, que par les prix auxquels nous avons pu les négocier.
Un respectueux au revoir à notre hôte de la journée, et nous sautons dans le taxi pour la gare Shinkazen de Kurume.
Le Shinkazen Sakura, nous emmènera jusqu'à Osaka en 3 heures.
Puis un nouveau Shinkazen nous emmènera d'Osaka à Kyoto en 15 minutes.
Kyoto, où nous resterons 24 heures, en mode "pause", avant de partir pour Niigata.
Donc pas de reportage demain. GOMEN NASAÏ.
A dimanche, pour la suite de ce reportage, du côté d'Ojiya !
- Couleurs de Niigata
- Membre associatif
- Messages : 253
- Enregistré le : 30 sept. 2013, 15:32
- Localisation : Saint-Georges-sur-Baulche
- Contact :
Kyoto
Porte-folio, samedi 12 mars.
Bonjour à tous.
Pas de reportage ce samedi 12, car toute l'équipe est en stand-by à Kyoto.
L'occasion pour moi de vous envoyer une petite carte postale de la cité impériale.
Kinkakuji Temple.
Ryoan-Ji
Nijo Castle
Gion - Kyomysu Dera Temple
La tit' pause déjeuner ! ... Remarquez en arrière plan Jean-Marc, qui se régale de mets divins !
Petit coucou du Japon,
ici tout va bien, il fait beau, il fait chaud, et nous nous amusons drôlement !
Nous mangeons bien, et nous pensons à bien nous hydrater aussi.
Bisous
A bientôt
Bonjour à tous.
Pas de reportage ce samedi 12, car toute l'équipe est en stand-by à Kyoto.
L'occasion pour moi de vous envoyer une petite carte postale de la cité impériale.
Kinkakuji Temple.
Ryoan-Ji
Nijo Castle
Gion - Kyomysu Dera Temple
La tit' pause déjeuner ! ... Remarquez en arrière plan Jean-Marc, qui se régale de mets divins !
Petit coucou du Japon,
ici tout va bien, il fait beau, il fait chaud, et nous nous amusons drôlement !
Nous mangeons bien, et nous pensons à bien nous hydrater aussi.
Bisous
A bientôt